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Il y avait de la lumière, il est entré [aeq]

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Barbara Crumble
Barbara Crumble
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MessageSujet: Il y avait de la lumière, il est entré [aeq] Il y avait de la lumière, il est entré [aeq] EmptyLun 13 Nov - 23:24

Cette quarantaine. De quel droit osent-ils ? Couper sans crier gare tout contact entre une ville et le reste du monde. Et ceux qui rendaient visite à leurs familles, y ont-ils seulement pensé ? Ils ont séparé des couples avec leur quarantaine. Ils ont détruit des vies.

C'est dans les bas quartiers qu'il l'avait rencontré, quoi que le mot serait plutôt trouvé. Les bras en croix, face contre terre, Barbara gisait dans une ruelle non loin d'un bar à la clientèle trop agressive pour une boule d'hormone frustrée. L’absence de son petit ami était bien trop lourd pour elle. Ces semaines sans lui étaient une vie de solitude de son point de vue.

Par pur altruisme, ou par opportunisme, un passant la ramena chez lui pour la laisser décuver. À son réveil, le chiffon imbibé fut très reconnaissant pour tout ce soin, mais expliqua qu'elle ne remerciait jamais le premier soir. Le bon samaritain grinça des dents avant de lui proposer un second rendez-vous, sobre cette fois, a l'observatoire du quartier aselus.

***

Une fois à sa collocation, c'est dans la joie et la bonne humeur que Barbara fit sa toilette. L'ambiance entrecoupée par des crises de manque de son étalon, de plus en plus espacé toutefois. Elle se faisait lentement à l'idée qu'ils continueront leurs vies séparément. Elle pensait un peu à son nouvel amant, même s'il n'avait pas encore une grande place dans son cœur.

Ce soir, elle se ferait séduire, comme une personne normale, dans le cadre d'une relation saine entre adultes. Cette perspective l’excitait comme une petite fille. Elle avait des amies, et une vie amoureuse de femme libre et indépendante. Elle avait hâte d'apprendre à le connaître comme le font les gens.

Une fois fin prête, elle câlina Lag, prévint Gabi qu'elle ne rentrerait peut-être pas ce soir, et partie vers son tête-à-tête.

***

Le soleil décline tôt en novembre. Il était à peine dix-huite heures, et le ciel rougissait. Barbara aussi prenait des couleurs en voyant qu’elle était attendue. Elle le salua avec un nuage de vapeur sortant de sa bouche. Elle était toute emmitouflée dans ses habits d’hivers, le prétendent décida de cacher ses chocolats encore quelque temps. Le temps de se réchauffer dans le bâtiment.

Il n’y a jamais grand monde à l’observatoire, pas de grand risque a laisser son cadeau dans l’entrée, discrètement avant de rejoindre son rendez-vous. Elle avait des étoiles plein des yeux, et il comptait bien en rajouter avec ses connaissances superficielles.

" Tu vois ça là-bas, c’est la grande ourse. Une fois qu’on l’a repéré, on peut trouver… " traçant une ligne avec son doigt et toute la concentration du monde, il ajouta " la, on trouve l’étoile polaire. On peut bien la voir à l’œil nu "

" Fantastiiique. C’est l’étoile du berger ? "

Le poisson avait ferré, le pêcheur n’avait plus qu’à étaler le peu de culture qu’il n’avait pas dévoilé.

" Ah, l’étoile du berger c’est encore autre chose. Regarde là-bas, en fait, c’est une planète, vénus, déesse de l’amour." Après un regard non rendu par sa compagne, il ajouta " et par là, c’est son amant, mars, dieu de la guerre. "

Tien ? Que faisait cet enfant dans les parages ? Le jeune homme ne l’avait pas remarqué, mais il semblait avoir écouté sa discussion.
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Aequilius Fenrirdóttir
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MessageSujet: Re: Il y avait de la lumière, il est entré [aeq] Il y avait de la lumière, il est entré [aeq] EmptyMar 14 Nov - 1:59

La quarantaine avait changé beaucoup de choses. On ne pouvait plus se sortir de la 'sup, car on risque de se faire lyncher par un groupe de personnes normal énervé par la situation. J'ai du mal à comprendre pourquoi la quarantaine a été mise en place, des dotés méchants, il y en a toujours eu. Pourquoi maintenant ?


Alors que je me promène dans les jardins, je remarque des lueurs étrange et lancinante qui mènent vers l'extérieur de l'école, je voudrais bien savoir où elles mènent ces petites lumières, mais je peux pas sortir de la 'sup. Ces lumières ce n'est pas des feu follets ?Ce sont des êtres revenues d'entres les morts, il y a une raison pour qu'elles soient là, mais si je sors de la 'sup dame de Paris va me tirer les oreilles, oui mais si elles m'apparaissent c'est qu'il y a un truc bizarre qui se passe, mais je vais me faire punir ou pire..., oui mais elles n'apparaîtront surement plus et je ne saurai jamais pourquoi elles sont là ....................Ok, j'y vais et puis ce que dame de Paris ne sait pas, ne peut lui faire de mal.
Je me mets donc à suivre les feu follets et je sors de la 'sup sans me retourner, mais j'ai quand même l'estomac noué, je ne veux même pas imaginer la punition que me donnera dame de Paris si elle le savait, je ne suis pas sûr que l'interdiction de punition corporelle suffise pour l'arrêter.



************************************************************************************************



Les feu follets me conduise jusqu'au beau quartier d'aselus, alors que la nuit tombe et que la ville s'illumine, ce quartier est très beau de nuit, surtout parce qu'il est plus vert que les autres parties de la ville. Pour une fois que j'apprécie la vue de la ville.
Je remarque du coin de l'œil un moins beau spectacle, Toutes ces lumières qui entourent la ville... Se doit êtres l'enceinte de la zone de quarantaine.

Je me dirige vers l'observatoire si je me rappelle bien. Je vois deux ombres, surement un couple qui rentre dans le bâtiment. Les feu follets me dirige vers la porte de l'observatoire.
Gargblrgblbl
Tiens mon ventre gargouille!
Je commence à avoir faim ?
Tant pis, je rentre dans le bâtiment, j'entends des bruits de pas, surement ceux du couple de tout à l'heure.
Tiens, c'est quoi ce truc dans l'ombre ? Une boite ? Du...Du....Du chocolat !!!! Tyché doit me sourire. J'en mange un, puis deux, puis trois,.... J'entends le couple parlait, je prends les chocolats qui restent, je ferme la boite et je la jette dans une poubelle à côté, ça serait malpolie de laisser ses détritus partout.
je m'approche discrètement pour les écouter.
Bof.... l'homme raconte des trucs de bases sur les étoiles, pendant que la femme boit la moindre de ces paroles. Je reste sur mon pan de mur en dégustant les derniers délicieux chocolat, ils sont plus intéressants que la tentative minable de parade nuptiale de se mâle en rut.
Le seul soucis c'est que les feu follets vont dans leur direction, je pourrai passer discrètement, mais là, il raconte beaucoup trop de bêtises, ce n'est pas possible, niveau connaissance en astronomie même Henri est capable d'en dire plus et pourtant ce n'est pas lui qui aurait inventé la lance.

" Ah, l’étoile du berger c’est encore autre chose. Regarde là-bas, en fait, c’est une planète, vénus, déesse de l’amour et par là, c’est son amant, mars, dieu de la guerre."

"-Quoi ? Ces trucs les planètes Mars et vénus?"
Les mots sont sortis tous seul,......... Je suis grillé........ Bon, tant pis.
"-Alors, avec tout le respect que je vous doit,"
depuis quand j'en dois à un sombre idiot inconnu en fait ?
"ce que vous confondez avec Mars est un simple satellite car jusqu'à preuve du contraire Mars ne clignote pas. Ce soir elle se trouve là."
Je lui montre un côté du ciel radicalement opposé à celui qu'il montrait et où la planète rouge brillait de manière discontinue.
"Et quant à Vénus vous la confondez avec la lumière d'un immeuble se trouvant dans la ville à côté, Vénus se trouve plus haut au-dessus de la ligne d'horizon vers là."
Encore une fois il est complètement à côté de la plaque.
Mais ce qui m'inquiète le plus c'était que si les feu follets se trouve ici et c'est certainement pas pour un inculte profond incapable de faire la différence entre la lune et le soleil.
"Ah!!! et monsieur vous avez la braguette ouverte,.... Très jolie le caleçons blanc avec des ours dessus, vous savez si vous avez besoin de vous rattacher à une image d'un animal pour combler vos problèmes de virilité, prenez plutôt du vin de céleris et des bains de romarin. Mes soeurs n'arrêtaient pas de dire ça, mais ça devait avoir un sens."

Cela ne semble pas lui faire plaisir....... tant pis pour lui. Dire que des gens venaient de loin pour recevoir nos conseils et nos enseignements sur comment régler des problèmes du quotidien et sur la position des astres pour connaître l'avenir.
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Barbara Crumble
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MessageSujet: Re: Il y avait de la lumière, il est entré [aeq] Il y avait de la lumière, il est entré [aeq] EmptyVen 17 Nov - 18:28

Petit gamin fouineur, ne voyait-il pas que les grandes personnes étaient occupées ? La jeune femme était presque mure pour la récolte. Le don juan de bas étages déployais un effort considérable pour conserver son calme. Ce petit en savait plus que lui sur la voûte céleste, rien de bien impressionnant. Il fallait garder la face devant son plan drague.

- Eh oui, le ciel est illisible avec cette pollution lumineuse.

Fier de son inspiration, il enchaîna.

- On n’est pas des rats de laboratoire, on s’en fout si ce n’est pas exact. Regarde, moi et ma chère amie somme venu pour passer un bon moment, et tu nous pette l’ambiance.

Après cette émouvante tirade, ce protagoniste prit le bras de sa compagne. S’éloignant de l’élève pour sortir son joker : les chocolats alcoolisés qu’il avait laissés dans l’entrée. Pas de quoi saouler une adulte, mais assez pour gagner quelque point de charisme.

- Mais enfin, je les avais laissés juste là !

La contrariété fut telle qu’il se coinça le bras dans la fermeture qu’il remontait. Barbara observa son prétendant piétiner quelques instants avec de grands yeux. Soudainement, c’est sous ceux de l’homme que la solution apparue. Un bouc émissaire, sûrement la meilleure excuse du monde. L’occasion pour lui d’affirmer sa position de mâle alpha des bacs à sable.

Il fit quelques pas vers le garnement qui venait de les rejoindre sur les lieux du crime. Pointant un doigt accusateur, il commença sa complainte.

- C’est toi qui as pris le cadeau que j’avais gardé pour ma copine ? Je les avais laissés sur ce rebord car je pensais qu’il n’y avait pas de voleur dans le coin. Petit malotru, sais-tu combien coûte une boite pour deux, sais-tu seulement ce qu’on faisait au petit voleur comme toi chez les Grecs ?

Il saisit la main du coupable, et tenta de le forcer à sortir.

- Allez sale gosse, c’est l’heure de rentrer à la maison. Allez… qu’est-ce que… vas-y bouge !
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Aequilius Fenrirdóttir
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MessageSujet: Re: Il y avait de la lumière, il est entré [aeq] Il y avait de la lumière, il est entré [aeq] EmptyVen 24 Nov - 22:49

Alors que je viens de détruire sa démonstration des étoiles, voici qu'il me répond.
Dame Gabi répète souvent qu'il faut écouter les grandes personnes.

- Eh oui, le ciel est illisible avec cette pollution lumineuse.

mmmmmmh d'accord

- On n’est pas des rats de laboratoire, on s’en fout si ce n’est pas exact. Regarde, moi et ma chère amie somme venu pour passer un bon moment, et tu nous pette l’ambiance.


Des rat de laboratoire ?
Péter ?
Je ne vois pas à quel moment j'aurais pété.
Tiens il part et il semble cherchez quelque chose.

- Mais enfin, je les avais laissés juste là !

Il me montre du doigt

- Dame Gabi, elle dit que ce n'est pas beau de montrer du doigt, c'est pas jolie..

- C’est toi qui as pris le cadeau que j’avais gardé pour ma copine ? Je les avais laissés sur ce rebord car je pensais qu’il n’y avait pas de voleur dans le coin. Petit malotru, sais-tu combien coûte une boite pour deux, sais-tu seulement ce qu’on faisait au petit voleur comme toi chez les Grecs ?


- Ils étaient très bons les chocolats et puis d'après dame Gabi, on doit faire la cour pas offrir des chocolats. "ça c'est pour les beaufs sans personnalité."

Il me prie la main et me tire vers la sortie, enfin je crois ?

- Allez sale gosse, c’est l’heure de rentrer à la maison. Allez… qu’est-ce que… vas-y bouge !

Bon ben ce n'est pas tout ça, mais je dois aller dans l'autre sens.
Je marche pour m'enfoncer dans le bâtiment avec un truc qui me tire.
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MessageSujet: Re: Il y avait de la lumière, il est entré [aeq] Il y avait de la lumière, il est entré [aeq] EmptyMer 6 Déc - 22:59

Il y avait de la lumière...

Nous voici donc aux funérailles de la crédibilité d'un homme qui voulait juste prendre son rencard. Le cortège s'enfonçait inexorablement dans le bâtiment, entrainant l'homme dans les méandres du ridicule. Le publique, ici composé de Barbara, contemplait la résistance futile d’une paire de semelle face à un demi-dieu grec, ici, Aequilus.

Quand il n'était pas occupé à négliger l'existence de son adversaire, le petit avait cité les mots de ce qui semblait être son professeur. Plus que le ridicule de la situation, c'est ce nom qui fit sourire le bout de femme rose.

- allons, laisse-le, tu vas t’attirer des problèmes…
- que, non ! Ce n'est plus qu'une question d'honneur...
Après réflexion, il continua.
- heu, si, c'est exactement une question d'honneur. Il me vole mes chocolats, et il ose me faire la leçon ? Je vais lui montrer pourquoi il ne faut pas provoquer les adultes !

Son premier acte d'homme libre fut de lâcher brusquement sa prise, espérant une perte d'équilibre du tyran nain. Il décida ensuite d'exprimer son indépendance à coup de pied dans les mollets, mais le petit restait debout, stoïque. Il tenta bien d’accompagner ses assauts de noms d’oiseau, mais rien n’y fit. Une statue antique, inamovible ; on ne voyait dans ces yeux d’argent aucun ressentiment, un exemple de self contrôle.

"C’est bon, arrête. Tu vois bien que c’est un de la sup, les dotés juste à coté
- Un doté ? Mais oui, ça explique bien ses manières. C’est de la faute de ces altérés si on est bloqué ici, je vais lui montrer…
- Bon, j’en ai assez entendu. "

Le bras qui se levait sur ce visage de marbre fut stoppé par une main au ongles roses.

"C’est dommaaage que tu ne les aimes pas, mais tu es en rencard avec une de ces altérés. Je t’ai toujours trouvé un peu minable, maiiis… je pensais que tu avais de bons côtés. Après tout, mon sauveur devait bien en avoir… Mais je n’ai plus envie de les chercher."
Lâchant son bras, elle saisit le col de son interlocuteur pour continuer.  
"En fait, si tu m’as ramassé, ce n’était que pour flatter ton propre égo, ou peut être que tu voulais tirer quelque chose de mon joli minois ? Je serais mal placé pour t’en tenir rigueur, mais je vais le faiiire. A mes yeux, tu n’es qu’une espèce de…"

En approchant ses lèvres roses de ces oreilles, jusqu’à presque les embrasser.

"Narcisse."

Il faut dire que ce jeune homme se tenait déjà en haute estime. Mais avec son don, Barbara venait d’accentuer ce phénomène à un point presque comique. Elle n’avait jamais tenté de créer un amour récursif, cela faisait quelque semaine qu’elle voulait savoir si son pouvoir allait jusque-là. Afin d’en vérifier les effets, elle fendit son grand manteau et sortit un petit boitier orange. A l’intérieure, un petit miroir ou elle offrit à son amant de se voir… puis elle le jeta par la fenêtre. Va chercher ; et c’est ce qu’il fit. Bien sûr, après une telle humiliation, l’envie de sortir ne devait pas lui manquer. Mais Barbara prit un malin plaisir la observer à scène. Elle n’était pas la seule apparemment, elle décida d’engager la conversation.

"Alors mon petit, dame Gabi ne va pas être contente si tu ne respectes pas le couvre-feu."
Lâchant son bord de fenêtre, demanda en remuant ses cheveux roses
"Tu es un élève de Gabrielle de Paris, c’est ça ? Dis-moi pourquoi je ne devrais pas tout lui raconter. "

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Aequilius Fenrirdóttir
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MessageSujet: Re: Il y avait de la lumière, il est entré [aeq] Il y avait de la lumière, il est entré [aeq] EmptySam 9 Déc - 2:44

L'homme s'énerve contres moi pendant que je continue à regarder le bâtiment.
Je fais comme s'il n'existe pas, comme dirais dame Gabi, lorsque la "plèbe" se croit supérieur à toi, ignore là.
Il m'a même semblé qu'il m'a donné un coup de pied, mais je n'ai rien senti.
C'est à ce moment qu'une scène plus digne d'intérêt se déroule devant moi.
La femme aux cheveux roses telle Aphrodites fit tomber l'homme amoureux de lui-même.
Il est vrai qu'elle a des airs de Dryade, aussi farouche que mes sœurs, aussi dangereuse que la matriarche.
"Alors mon petit, dame Gabi ne va pas être contente si tu ne respectes pas le couvre-feu."

Ah! mince elle connait Dame Gabi. Faut que je trouve une excuse, mais ce n'est pas bien de mentir, sa ferais qu'empiré les choses.

"Tu es un élève de Gabrielle de Paris, c’est ça ? Dis-moi pourquoi je ne devrais pas tout lui raconter. "

"-Oui, je suis un des élèves de dame Gabi et si vous lui racontez tous, dites-moi ce qui m'empêcherai de lui raconter que vous subissiez tous sourire, la cour d'un "plébeien" comme une pauvre paysanne dans un champ. La connaissant ça ne va pas lui plaire.

Je ne fais que cité Gabi depuis tout à l'heure, mais il faut dire que ces idées sont très proches de la matriarche.
Et même si Gabi me gronde souvent je l'apprécie quand même.
Mais je préfère Dame Frenrirdotir, elle est plus rigolote et elle fait de vrais efforts pour nous aider à mieux contrôler nos pouvoirs et puis je me sens plus à l'aise avec elle. Il est vrai qu'elle sent parfois le chien mouillé et qu'elle réagit bizarrement, mais elle est un vrai exemple et elle me rappelle un peu ma maman.

"-Madame, vous ferez mieux de partir.
Il y a des feu-follets qui m'ont mené jusqu'ici et je ne pense pas qu'il soit ici par hasard.
Et je ne pense pas que votre pouvoir d'Aphrodite vous protège des esprits."


Je continue d'inspecter le bâtiment. Les feu-follets semblent continuer leur chemin vers une porte de l'observatoire. Je me dirige vers la porte tout en suivant du regard l'ami de dame Gabi qui ne semblent pas vouloir partir.

"-Si vous voulez me suivre. Je ne suis pas sûr de pouvoir vous aider en cas de problème. C'est au risque de vous faire mal."
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MessageSujet: Re: Il y avait de la lumière, il est entré [aeq] Il y avait de la lumière, il est entré [aeq] EmptyJeu 14 Déc - 20:32

Il y avait de la lumière ~

Il était plus malin qu’il en avait l’aire, le petit. Il ne lui aura fallu qu’une représentation pour percer ses cupides pouvoirs à jours. Gabrielle pouvait être fière de ses élèves. Quoique lui-même ne fait pas de grands efforts pour cacher les siens. Il semblait robuste, bien assez pour ne pas craindre le courroux de quelque anti-doté. Mais on pouvait craindre pour cet enfant qui évoluait dans un contexte haineux, qu’il ne s’attire les foudres d’un groupe un peu trop armé, ou un peu trop nombreux pour le simple écolier qu’il était.

"Plébéien ? Tu va me parler sur un autre ton jeune homme. Il n’y a que Gabi qui ait le droit d’utiliser ces vieux mots pédants. "

C’était sa façon de dire qu’elle comptait l’accompagner. Il fallait bien quelqu’un pour prendre le relais quand le professeur n’était pas là. Et puis, Barbara adore les chasses aux trésors.

"Un feu follet, je n’en ai jamais vu ! Mais si c’était dangereux, j’en aurais entendu parler. Je sais plein de choses, tu sais ? " Puis, sur un ton espiègle, le petit être rose commença ses questions.
"Lagherta m’a enseigné quelque mouvement de défense, ne t’en fais pas pour moi. Tu la connais aussi du coup, madame Frenrirdotir ? Dis-moi… as-tu des informations, des anecdotes sur elles ? "

À peine sa question fut elle posée, que ses yeux bruns se posèrent ces étranges lumières. Enfin, elle les voyait. De quelques bonds, sa curiosité la porta vers une porte qui semblait également attirer le jeune Grec.

Plus aucun bruit ne provint de l’ombre pourpre, qui voyait s’éveiller ses instincts de fouineuse. Son doigt posé sur ses lèvres rose vif invitaient son partenaire de mission lui aussi faire taire son corps. Elle laissa son dos glisser le long du mur froid avant de s’arrêter sur la panneau « keep out ». Une simple serrure, rien qui ne puisse ralentir une professionnelle en quête d’informations.

Dans un seul mouvement, elle s’assied sur ses tallons et retira l’une des aiguilles qui maintenaient gracieusement ses cheveux flashy. Elle n’avait peut-être pas son matériel, mais cette tige de métal était plus que suffisante pour une serrure simple. La poignée se dénoua, et la jeune femme put la tourner d’un mouvement ample. Elle tourna la pointe de ses pieds vers le jeune homme pour s’assurer qu’il suivait toujours, puis poussa le bois peint.

Dans cet espace clos les attendait un vieil homme. Sans prêter attention au désordre ambiant, Barbara examina cet impassible vieillard. Intriguée, elle chercha du regard toutes les informations qu’elle pourrait glaner sur lui. Il s’agissait d’un homme grand et maigre. Il ne payait pas de mine, avec ses vêtements usés et ses yeux fatigués. Il la dévisageait en retour, mais son regard semblait éthéré ; il l’observait sans sembler la voir. Il semblait l’attendre, sans même considérer le temps.

Ce n’était pas le genre de femme à engager la conversation, pas sans raison. Elle effectua quelque lents pas de côtés, suivis des prunelles vides de l’occupant des lieux. Lui non plus ne semblait pas bien loquace. Un peu nerveux, tout au plus.

Quand le second fit irruption, le tressaillement visuel de l’occupant trahit aux yeux de Barbara sa nature surnaturelle. Quelqu’un qui n’avait rien à faire en ce lieu, surtout pas en ce temps. Un mystère aux yeux de l’ancienne chercheuse. Cela faisait bien plusieurs jours que sa soif de connaissance ne s’était ainsi éveillé, et bien plus si on ne considère pas ses amours forcés.

Face au gouffre, cette limite de ses connaissances, son regard se tourna désespérément vers son nouveau compagnon. Il connaissait les feux-follets, il devait savoir ce qu’était cet homme. L’être semblait prêt a agir, et elle ne savait comment réagir.

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MessageSujet: Re: Il y avait de la lumière, il est entré [aeq] Il y avait de la lumière, il est entré [aeq] EmptyJeu 28 Déc - 17:33

"- Désoler, je ne fais que répéter ce que dame de Paris nous dit."
La dame rose semble avoir un sacré caractère.
Je pense qu'elle va me suivre. Cela me rassure un peu. Dans cet endroit il fait très froid, plus froid même que l'extérieur et puis c'est lugubre et sombre.

"Un feu follet, je n’en ai jamais vu ! Mais si c’était dangereux, j’en aurais entendu parler. Je sais plein de choses, tu sais ? "

"-Les feu follet sont des petites flammes bleus qui d'après ma mère ont un lien avec le royaume des morts. Des formes d'incarnations d'esprit dans le plan mortel. En général, elles cherchent a indiqué quelques choses. Les mor.... gens ont tendance à ne pas faire attention aux créatures fantastiques, même quand ils en ont une en face ils ne la voient pas. D’ailleurs ces créatures se cache aux yeux des humains. Il est donc normal que vous n'en ayez jamais vu."

"Lagherta m’a enseigné quelque mouvement de défense, ne t’en fais pas pour moi. Tu la connais aussi du coup, madame Frenrirdotir ? Dis-moi… as-tu des informations, des anecdotes sur elles ? "

"- Si se sont en effet des esprits, j'ai bien peur que la force ne serve a rien. Dame Fenrirdotir, oui c'est ma professeur de pouvoir et la professeur la plus sympa de l'école. Elle a tendance a renifler les gens qu'elle rencontre, mais sinon elle est gentille. Une anecdote ? Il y a bien une fois quand Sophie lui a tiré dessus avec une boule énergétique, elle a poussé un drôle de cri de surprise en esquivant l'attaque. On aurait dit une espèce de jappement. Mais dame Fenrirdotir fait moins peur que dame de Paris.Un jour un étudiant de classe Alpha est venu lui demander sa main et dame de Paris a rejeté ses avances avec tellement de violence que l'étudiant c'est mis à pleurer. Depuis il a fait circuler des rumeurs étrange sur elle. Comme quoi elle serait très intéressée par les enfants, mais elle ne nous a jamais rien fait. Elle s'occupe juste de nous. Certains élèves la voient même comme une deuxième maman."

Elle passe la porte et nous avançons prudemment. Elle mit son doigt sur la bouche pour m'indiquer de faire le moins de bruit possible. Je ralentis mon pas et je pose mes pieds plus doucement encore sur le sol. Au bout du couloir on tombe sur une porte marquée en gros "Keep out" en rouge. J'allais pour défoncer la porte avec un coup d'épaule pour la sortir de ses gongs, quand la dame rose passe devant moi et commence à jouer avec la serrure avec une de ses épingles a cheveux. Je me demande bien ce qu'elle est en train de faire.
Tous d'un coup la porte s'ouvrit et la dame se tourne vers moi avec un air satisfait. Elle rentre dans la pièce et j'allais la suivre quand .... je ne sais pas. J'avais envie de faire demi-tour. Mais je n'allais pas laisser la dame seule alors que l'origine des feu follets se trouve derrière la porte. Je vois un vieil homme de l'autre côté de la porte.
J'entre et l'homme se mit à me scruter. Enfin pas vraiment moi. Il semble regarder au-dessus de ma tête.
Nom d'Apollon que cette salle est froide et puis cette étrange fumée et cette lumière bleuté.
Plus de doute, cette créature n'a plus sa place dans le monde mortel.
La dame rose me regarde. Elle a l'air plus intrigué qu'apeurer.
Elle veut que je lui dise ce que je sais sur cette créature.

"- C'est un mânes, un mort qui n'a pas trouvé le repos. Les feu follets nous ont emmené à lui. J'ai entendu parler d'un rituel pour le faire partir ou l'apaiser, mais je n'ai pas d'olives sur moi. Il a certainement besoin d'aide, je vais m'approcher pour lui demander ce qu'il veut."

Je fais doucement un pas vers lui, puis un second.
L'homme se met a criée, ce cri n'a rien d'humain. Aurait-il peur ?
Je dois avouer avoir peur moi aussi.
Je vais me mettre a chanté une vieille berceuse que chanter ma mère. Cela me redonnera du courage et ça pourrait apaiser l'esprit.
Il fait de plus en plus froid au fur et a mesure que je m'approche.

"-Bonjour, je m'appelle Aequilius phylonmay et vous ?"
Le spectre ne me répond que part un râle, puis il se met a pleuré.
Il arrive que ces créatures ne se rappelle plus de leur nom .... ou perde la faculté de parler à force de rester seul.
"-Vous avez besoin d'aides ?"
Il me montre une partie de la pièce rester dans l'ombre proche de la dame rose, tout en sanglotant.
Ses sanglot était sourd, comme si on les entendait au travers d'un mur.
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MessageSujet: Re: Il y avait de la lumière, il est entré [aeq] Il y avait de la lumière, il est entré [aeq] EmptyVen 19 Jan - 15:55

Il y avait de la lumière

Le "mâne" semblait porter grand intérêt à un drap tapis dans l'obscurité ; ou plutôt à ce qui se trouvait en dessous. Une lunette astronomique. Une fois la housse repliée et enroulée à son bras, Barbara ne put s'empêcher d'examiner l'engin. La chercheuse dut courber tout son dos pour observer ce qui semblait être le plafond en très gros plan. L'endroit n'était pas propice à l'astronomie.

L'enfant expliqua que les mânes ne peuvent communiquer avec les vivants si leur lien avec ce monde est trop faible. Il devait y avoir quelque chose qui lui rappellerait suffisamment son existence pour qu'il puisse parler aux deux visiteurs. 

Barbara supposa logiquement que cet homme était une sorte d'astronome, et lui apporta le télescope. Le visage éthéré s'illumina un instant. Ses mains se levèrent sur le trépied, et une voix se fit même entendre. 

"Les étoiles l'ont annoncé. Je dois continuer mes observations."

Les doigts se posèrent sur l'outil ; le spectre courba l'échine. L'éclat de ses yeux reprit un ton morne. Le spectre se recroquevillait en gémissant.

"Mais alors ? C'est pas ce que tu voulais ?"

Fouillant chaque recoin de la pièce ; rien de ce que Barbara ne présenta à l'homme ne reproduit cet effet. Pire, sous sa frustration croissante, le spectre commença même à palpiter. 

Finalement, la chercheuse prit un carnet d'astrologie posé sur une chaise. Quand elle le proposa au mâne, celui ci poussa un hurlement ; stoppant toutes ses tentatives. 

Barbara eue bien une idée. Mais elle avait de toute évidence suffisamment agacé un spectre. L'éventualité de s'attirer le courroux d'un revenant ne l'exitant pas plus que cela, elle s'adressa à l'enfant qui se tenait à ses côtés. 

Avait-il une idée de quoi faire, avant que Barbara ne teste sa dernière théorie ?

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MessageSujet: Re: Il y avait de la lumière, il est entré [aeq] Il y avait de la lumière, il est entré [aeq] EmptyVen 9 Mar - 3:33

La dame en rose cherche dans le recoin indiqué par le spectre.
Je profite de ce temps pour observer plus amplement le fantôme et je profite de ce temps pour réunir toutes les informations que je possède sur les mânes.
Ce n'est que quelques histoires.
Les êtres immortels ne sont pas du genre à raconté beaucoup d'histoire de fantôme.

Le fantôme porte une blouse blanche, on dirait un scientifique. Comme la dame rose.
Sa peau est blanche, faisans ressortir ses cheveux d'un brun maladif et ses yeux bleu glacial.
........
Le regardait droit dans les yeux me donne froid, son regard me transperce. Il me fait peur.
Il faut quand même que je reste calme.
Comment rester calme quand un truc qui est sensé être mort vous regarde droit dans les yeux ?
Bon, je respire profondément, je viens d'une région où croiser des centaures et des dryades vielle de 1000 ans et quelque chose de normal.
Au final, lui comme moi n'avons pas notre place ici.

Tiens la dame rose a trouver quelque chose.
Cette chose ça doit être le truc que les mortels utilisent pour regardais les étoiles.

"- Les étoiles l'ont annoncé. Je dois continuer mes observations."

Sa voix, elle est humaine, ...... Mais il est mort.
À moins que.....

"Mais alors ? C'est pas ce que tu voulais ?"

"- Ma dame, je crois que l'objet a provoqué l'arrivé d'un souvenir. Je le sais, car une amie a le pouvoir de lire l'avenir et pendant, ses crises ça lui arrive que les souvenirs de quelqu'un qu'elle touche ressorte, avec la même voix que la personne dont elle dicte les paroles."
Je marque une pause, je me rappelle qu'une fois en m'agrippant l'épaule, Cassandra s'est mise à dire, mot pour mot, ce que j'ai dit le jour où j'ai appris la mort de ma mère.
J'ai ensuite sauté sur le toit pour ne pas que toute la classe ne me voit pleurer.
Dame Fenrirdotir qui était notre professeur durant ce cour et venue me rejoindre et me réconforter.
Elle m'a parlé aussi que sa famille était loin et aussi a qu'elle point sa famille lui manquais.
Elle m'a dit que tous comme moi, des êtres dangereux leur voulaient du mal et qu'elle les aideraient de son mieux.
Même si je suis loin de ma famille ici, on me donne à l'école tous les moyens d'apprendre a mieux contrôlé mon pouvoir.

Voir cette dame se démenait à faire parler le fantôme, me fit sortir de mes rêveries.
Je préfère m'asseoir sur le sol et la regardais déménageait entièrement toute la pièce.
"- Les étoiles l'ont annoncé. Je dois continuer mes observations."
Je fais tourner cette phrase dans ma tête.
"- Les étoiles l'ont annoncé."
Les étoiles annoncent par leur position dans le ciel des évènements importants.
Mais l'astrologie est une science difficile, les mortels sont capable de l'utilisait ?
De ce que j'en sais, c'est très complexe.

Ce qu'on sait, c'est qu'il a vu quelque chose d'important, mais somme nous sûr que ça à un rapport avec la chose qui le retiens ici ?
"- Je dois continuer mes observations."
Il n'a peut-être pas fini ces observations.
Je regarde le toit, cette pièce ne donne pas la possibilité de voir le ciel.
Je pourrai toujours détruire le bâtiment et..... non mauvaise idée, les mortels aime pas que je détruise leurs bâtiments.
Et puis avec la dame en rose dessous sa risque de la tué.

Au bout de plusieurs minutes, elle me demande si j'ai une idée avant qu'elle tente sa dernière idée.
"- Et bien sa phrase semblent contenir deux détails importants. Il nous a dits qu'il a vu quelque chose d'important dans le ciel et qu'il doit continuer ces observations. Il ne les a sûrement pas finies et c'est pour cela qu'il est là. Bien sûr, ce n'est qu'une supposition, il y a une autre possibilité plus dangereuse.
Vous devez connaître l'histoire de la dame des mortifiés ?"


Sa réponse négative m'étonne, les mortels ont-ils oublié l'histoire commune qu'ils ont avec les créatures fantastiques ?

"La dame des mortifiés aussi appelait dame des ruines ou de la nécrose était une très puissante magicienne dryade, ses pouvoirs était telle qu'elle a réussie a invoqué et contrôlé une armée de spectre. Son but était de conquérir toutes les races du mundus grâce a cette force armée. Les clans ont réussi à se réunir en une grande armée et se sont battus contre elle.
Les centaures, les dryades, les néréides, les fées, les satyres, les djinns, les esprits, les humains donc des Altérés et bien d'autres créature unie en une seul et vaste armée contre la dame des mortifiés, l'incarnation de la mort.
L'union des clans a vaincu la dame de la nécrose au prix de très lourde perte. Depuis les créature fantastique, peu nombreuse, se sont réfugié dans des régions reculées.
Cela a provoqué une terrible épidémie parmi les hommes que vous appelait la peste noire.
Cette maladie a été créée par la dame des ruines pour créer son armée et elle infectait tout le monde durant son apogée, même les dryades.
Je sais qu'elle est morte depuis des siècles, mais si un être comme elle et connaissant les secrets de sa magie se promener à Laurel.
Ça serait très dangereux.
D'après ce que l'on raconte les spectres été tous comme cela, car le pont entre le monde des morts et des vivant était la dame des mortifiés."


Le mâne se mit a s'excitait au moment où je finis mon histoire, cela ne me rassure pas du tout.
On dirait qu'il essaye de me faire comprendre qu'il m'approuve.
Cette histoire m'a toujours fait peur, car ma mère a elle-même participé a cette guerre et elle ne voulait jamais en parler. Je suppose que la guerre est quelque chose qu'il vaut mieux oublier....
Un monstre qu'il vaut mieux oublier.

"- Je suis désolé pour l'histoire, je connaissais quelqu'un qui a vécu cette guerre, et même si je sais que les mor... gens ont oublié cette histoire, je suppose que vous connaissait les dégâts de cette maladie.
Dame Gabi nous la même enseigner.
Les fantômes n'ont pas leur place dans ce monde et pour qu'ils y reviennent, il faut quelque chose de puissant. Pour l'instant, on a en vue qu'un seul fantôme, ce qui est encourageant."

J'essaye d'êtres optimiste, avec plus ou moins de réussite.
Elle tenait un carnet entres ces doigts aux ongles roses-bonbons.
"- Ce carnet contient ces notes ?
Pouvez-vous lire l'entrer qui parle directement de ce que les étoiles ont annoncé ?"
Il y a de forte chance qu'elle soit vers la fin."
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MessageSujet: Re: Il y avait de la lumière, il est entré [aeq] Il y avait de la lumière, il est entré [aeq] EmptyVen 20 Avr - 14:52

Il y avait de la lumière

Cet enfant. Qui est-il ? L’école des héros accueil de biens étranges spécimens. Les mains sertis de rose de la chercheuse palpitaient ; cette journée était passionnante.

"Je vais regarder !"

Le carnet s’ouvrit dans un nuage de poussière. Le léger bruissement des pages emplit la pièce. Tous fixaient les yeux de Barbara, se plongeant dans le flot de pates de mouches. Elle scruta, tourna ces pages jaunies, couvertes de coordonnées ésotériques et de signes astrologiques.

Son regard survolait les pages sans vraiment les lire. L’esprit de la jeune femme n’avait pas finis d’assimiler l’avalanche d’information lancé par le petit immortel. Après quelques diagonales, les écrits se firent rare, puis plus rien. Si ce fantôme en est bien l’écrivain, il aura laissé ces pages cornées blanches après sa mort, le lundi 8 aout au plus tard.

"Je suis au bout."

Prenant soin d’expliciter ses actions, Barbara se posa en tailleur. Elle remonta quelques pages avant le silence radio, puis releva toutes les phrases encore intelligibles. Devant elle, le mânes la fixait autant qu’un fantôme peut observer un mortel. Ses lèvres annonçaient chaque mot de la jeune femme ; il connaissait ces phrases, et tentais de les offrir aux vivants.

"Alooors. J’ai repéré ; je c’est lui, je lis ; j’ai repéré une formation inhabituelle dans le ciel. C’est la constellation de --- qui passe au-dessus de ---. Mph, alors il y a plein de termes techniques, mais il y a des phrases soulignées. Voyons… Tout cela ne peut pas être due au hasard. La voute céleste prédit quelque chose… Oh, je vois."

Après avoir inspecté les dernières pages, Barbara referma le livret. Ses yeux remontèrent vers les deux présences fantastiques.

"Si j’ai bien compris, il a repéré qu’une formation sera visible en 2019. Il a tenté de calculer a quoi elle ressemblerait, mais les calculs étaient trop compliqués. Il a conclu qu’on ne serait fixé que lorsque la formation sera effective, et c’est environs maintenant.
-…
-… Les dernières pages parlent de soucis de santé. Tu es mort avant de finaliser ta fameuse inscription ?"


Le mânes rejoint Barbara au sol, les épaules tombantes. Il semblait dépité, mais son regard affichait enfin une lueur. La demoiselle put se plonger dedans, et put y trouver une forme d’espoir. Il n’était pas trop tard. Avant d’agir, elle chercha une dernière information.

"Et c’était quand ? Il y a marqué les jours mais pas les années… Ici non plus, attends. Voyons voir, … Ah ! Un rendez-vous noté pour le huit mars mille huit cents…"

Le petit carnet heurta le sol en crachant ce qui lui restait de poussière. L’ombre rose se leva, et posa un ordre sur la jeune pousse.

"Tu es fort. Prend ce télescope et amène le dans le jardin. Nous avons une étude à terminer."

Le silence cette fois n’était pas de mise. Le convoi passa les portes à grand coups de pieds. Le spectre flottait attentivement derrière son coli, un matériel de précision porté avec toute la délicatesse d’un héro grec.

"Il y a un carré de verdure devant l’entrée. Ce sera plus que suffisant.
-Suffisant
-Oui, c’est cela ! Je compte sur toi pour nous dire ce qui se passe. Pour moi les étoiles c’est tout juste si ça sert à être jolie.
-Ah…"


Il parlait, et sa voie se faisait presque physique. Ce qui fut un astrologue était imbibé d’une énergie proche des vivants. Il franchit l’ultime porte qu’avait poussé Barbara, méprisant de quelques centimètres le sol. L’enfant pénétra sur l’herbe ; l’esprit posa un pied dessus, puis deux. Il marchait.

Une fois le matériel déployé, l’esprit s’y plongea. Ses mains touchèrent les rouages presque jusqu’à les affecter. Les mécanismes optiques firent leur œuvre ; la lunette oscilla légèrement, plantant son œil fantomatique dans l’océan d’infinis.

Les lueurs solaires n’avaient pas encore quitté totalement le ciel. Par chance, le point d’intérêt attendait de l’autre côté. Le regard glissant sur la voie lactée jusqu’à son point d’intérêt ; l’esprit put enfin finir sa mission.

"Quatre êtres… chargés de changer l’équilibre… qui sont-ils ?
-Tu peux voire ça dans les étoiles.
-L’un d’entre eux viens d’arriver… ah… ah…
-Arriver ? Ou ça ? On peut seulement le lire ici ou c’est visible partout ? Car dans ce cas on n’est…
-Il était le dernier… il est l’ultime.
-Dernier ? Les autres sont déjà là, ou ils sont déjà morts ?
-Mort. Ouiiii, La Mort"


La légère brise qui parcourait les cheveux rose soudain les souleva violement. L’herbe ondulait autour des observateurs, et Barbara sentant monter un malaise. Dans le ciel montait quelques nuages qui bientôt couvrirent la scène ; et déjà la dame voulait rentrer chez elle.

L’ambiance paranormale devenant trop pesante, l’ombre rose décida de tirer sa révérence.

"Ravis que vous ayez réussi. Je m’en vais"

Le bruit d’un pneu qu’on égorge crispa l’anglaise au plus haut point. Un flash lumineux accompagna la voiture qui s’élançait, tout phare dehors, hors de la route. Un carambolage comme en en voit souvent, mais au protagoniste unique, qui se terminait dans l’épais muret bordant l’observatoire. Stoppée dans son élan par cet événement impromptu, la femme s'intérogeait.

"C’est toi qui a fait ça ?
-Qu’elle est cette chose."


L’être qui n’avait pas de voiture de son vivant recula de plusieurs pas, loin de la zone d’impact. Quand l’adrénaline retira les entraves posé sur ses jambes tremblantes, le bout de rose s’approchât du véhicule pour en inspecter les fenêtres brisées. Dedans, le conducteur était posé contre un grand coussin blanc. Ses yeux, ouverts, semblaient encore réagir. La portière, enfoncé, ne s’ouvrirait pas.

Un doit sur la bouche, Barbara retourna un regard hésitant vers le petit aux cheveux d'argent. Hésitant sur la direction à prendre, mais avec une furieuse envie d’y aller. Sur la route, un léger trafic continuait, quoique les passant ralentissait pour mieux voir l'épaisse fumée.

"...C’était un hasard, hein ?"

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Dernière édition par Barbara Crumble le Jeu 14 Juin - 23:55, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Il y avait de la lumière, il est entré [aeq] Il y avait de la lumière, il est entré [aeq] EmptyDim 20 Mai - 19:08

La dame en rose tentera de déchiffrer le vieux journal qui aura subi 200 ans d'outrage.
Elle arrivera à comprendre les grandes lignes de cet antique ouvrage.
Le mânes sera à la recherche d'une constellation qui ne sera qu'observable en cette époque. La chercheuse prendra le pas sur l'amante et la jeune femme prendra l'initiative de chercher la réponse à la question qui reste en suspend.
Elle abandonna le livre et demandera aux fils de la guerre de porter les instruments d'observation utilisés par l'esprit, ce que l'enfant fera avec toute l'adresse que ça condition lui permettra.
Il déposera l'objet dans l'herbe dans l'endroit demandé puis il se contentera d'observer les étoiles et la magie qui opérera devant ces yeux. Le fantôme avait une consistance presque humaine, sa voix avait repris des teneurs physiques et il annoncera la venue d'êtres qui ramèneront l'équilibre dans ce monde.
Les étoiles annoncent en réalité le dernier : la mort.

À ce moment ni l'enfant, ni la dame ne comprirent quelle importance aller prendre les paroles du mânes.
La femme préférera d'ailleurs rentrer que de tenter de percer tout le mystère de ces paroles.
Quant à l'enfant, il sentira les bras de Morphée le prendre sous sa douce étreinte.


Mais le bruit d'une drôle de machine sortie l'assemblé de leurs rêveries et leur rappellera la triste vérité.
Un char fonctionnant sans chevaux s'emballera et le conducteur en perdra le contrôle. L'étrange machine finira sa course dans le muret entourant ce lieu d'observation du cosmos.

La dame tentera de se rassurer en demandant aux pauvres mânes s'il sera à l'origine de cet étrange événement. Le fantôme ne répondant que par un autre questionnement, la femme se tournera vers l'enfant :
"...C’était un hasard, hein ?"

L'enfant sera aussi sous le choc et perdu que la femme.
"Je ne sais pas, on m'a toujours dit que le destin était filé par des vieilles femmes. Je n'en sais pas plus."

L'enfant poussé par sa curiosité, se dirigera vers la voiture et sautera le muret.
À l'intérieur de la voiture, une femme inconsciente mais encore vivante se trouvera.
Il appellera la dame rose à l'aide et il tirera, d'un coup sec, la porte de l'étrange machine vers lui.
La porte cédera devant la puissance du fils d'Ares et elle s'arrachera au cercueil de métal.
"- Madame, vous m'entendez ?"
"La Chose... d'où elle vient.....? Ques.......?"
Une impression froide d'êtres observés traversa le dos du sylvain.
Il se tournera vers le point d'origine de l'accident, une enfant aux cheveux bruns, d'à peu près son âge, le regardera avec insistance. Son regard sera froid, elle aussi sera une mânes et elle cherchera quelque chose en l'enfant. En vérité, elle sera aussi apeurée que lui, car malgré le visage parfait de l'enfant dans son ombre se cache quelque chose d'effrayant.
Elle marchera tout de même vers lui, avec une allure calme et sûr d'elle, se rassurant avec l'idée qu'une morte ne peut rien subir.

L'enfant des bois aura peur, mais ne pourra pas non plus détacher son regard de l'apparition fantomatique. Une apparition qui sera aussi attirante qu'effrayante.
Certainement à cause de son bouillant sang divin qui le poussera souvent à des décision étrange. Il marchera vers le fantôme. Ces jambes trembleront sous le coup de la peur, mais il marchera la tête droite. Le souffle de l'enfant trahira par sa blanche apparition le froid hivernal qui gagnera l'endroit en cette nuit de printemps.
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MessageSujet: Re: Il y avait de la lumière, il est entré [aeq] Il y avait de la lumière, il est entré [aeq] EmptyLun 18 Juin - 18:24

Il y avait de la lumière...

~something different~

Deux silhouettes juvéniles se dessinent dans le champ de vision de l’ombre rose. Celle aux cheveux argent franchit les larges traces de gomme laissées au sol pour s’approcher de la plus énigmatique. Aux mèches tressées de noir, cette seconde tend une main hésitante, projetée au sol par la lumière des étoiles. Cette ombre, pourtant, n’est pas celle d’une humaine.

C’est un prédateur sombre qui glisse sur le sol ; et c’est un mouvement nerveux qui saisit l’enfant en arrière. Barbara, de peur, l’avait pris dans ses bras pour s’éloigner de plusieurs pas. Face à eux, était un nouvel être qui afficha de la surprise d’abord, puis de la tristesse, enfin de la colère.

Ses doigts, tremblants tangibles, pointèrent un éclairage public. Son ombre suivit ce mouvement, s’enroula tout contre le poteau. Ses yeux retournèrent vers les deux vivants, intimant à sa prise d’en faire de même. Elle essaya ; l’ombre bascula avec le lampadaire contre le trottoir dans un sursaut d’acier.

-Je ne comprends rien. C’est son ombre qui a fait ça ?
-Elle a cassé le lampadaire ?

La menace tourna son attention vers le petit bout de vie, recroquevillé contre l’épave de voiture. Son jeune corps resta bien calme quand ses formes, sombres, parcouraient le goudron gris clair. Elle regarda une dernière fois sa main, avant de l’envoyer vers la voiture. Avant que personne ne puisse comprendre, la tôle s’était effondrée sous les ténèbres, brisant le corps de l’innocente.

-Non !

L’empathie humaine crispa la femme en rose, devant le spectacle d’un corps qui se brise. Une nouvelle ombre glissant au sol, rouge, sous la victime. La seule chose qui empêchait encore Barbara de fuir était l’absence de garantie, la peur de mourir, même en courant. Ce qui devrait être une peur se mua alors en une curiosité maladive.

-C’est quoi ; tu es quoiii ? Une dotée, ou un monstre… Moi, je suis, une dotée.

L’ombre rose considéra ses options, pourtant très réduites. Puisque les sentiments qui semblaient animer la fillette n’avaient rien de naturel, elle décida d’en rajouter une couche. Captant les yeux livides de la brune, elle la lia d’amour au jeune Grec ici présent. C’était son don, sa seule chance.

Et un long instant durant, la jeune fille cessa d’avancer. Ses bras, ballants, cessèrent de diriger l’ombre noire qui s’immobilisa tout ce temps. Un sourire émergea de son visage cerné ; de plus ne plus large et carnassier, il affichait ses dents, puis ses gencives, s’étirait jusqu’au creux du coup.

La fillette dévorait des yeux le petit sylvain ; salivante, elle reprit sa marche. L’ombre qui lui léchait les pieds dansait, griffait ; le muret qu’elle dépassait fut déchiqueté. L’ombre rose tira l’enfant sur la pelouse, s’éloignait de ce prédateur qu’elle venait peut-être d’éveiller.

La mâchoire joviale, enfin, se desserra pour qu’on entende la première réplique de cet être.

-Toi. Viens jouer avec moi.

Elle tendit sa paume au ciel et a l’enfant. L’ombre rose put glisser sur le flanc, évitant la traînée noire qui venait de creuser l’herbe, tranchant la terre. Retrouvant vite ses appuis, elle jeta un œil vers l’autre cible de ce qui était une attaque mortelle.

-Je suis dééésolé. Elle risque de se comporter, bizarremeeent avec toi. Tu, tu es fort. Je sais que tu ne vas pas mourir.

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MessageSujet: Re: Il y avait de la lumière, il est entré [aeq] Il y avait de la lumière, il est entré [aeq] EmptyJeu 19 Juil - 18:56

Cette créature ne sera rien d'autre qu'une mâne qui ne trouvant pas le repos, avalera tous les êtres à ça portait.
Mais malgré tous sont aura de violence, l'enfant verra autre chose. Pendant quelques secondes, il ne verra qu'une âme seul et apeuré.
Au moment où il se rapprochera l'être, la dame aux cheveux rose fermera ses bras sur l'être sylvestre qui ne pouvant ce détachée du regard de la créature spectral, se laissera totalement faire.

La créature sera hors d'elle de ne plus avoir chair, ni os et elle cassera ce qui apportait un peu de lumière pale au sein de ce décor ceint de ténèbres.

"-Je ne comprends rien. C’est son ombre qui a fait ça ?

-Elle a cassé le lampadaire ?"


Il sera difficile de dire si c'est par son ombre, car un mâne n'a pas de forme précise.
Elle n'est pour l'instant qu'une créature cherchant à détruire ce qui se trouve en fasse d'elle.
De son nombre insidieux, elle écrasera de son ombre le char de métal où la pauvre femme sera bloquée emmenant son âme au bord du Styx.

"-Non !"

Pendant que la pauvre femme aux cheveux roses prendrait pleinement conscience de la limite de sa mortalité, le fils d'Ares regardera le spectacle impassible et paralysé.
Une ombre au fond de lui rira de cette situation comme ci la vue de la mort et de la destruction faisait partit de lui.

Puis la boureau des cœur dira au fantôme :
"-C’est quoi ? tu es quoiii ? Une dotée, ou un monstre… Moi, je suis, une dotée."

La jeune femme restera même en cet instant de terreur une chercheuse ainsi que la flèche de cupidon.
La jeune femme soit par peur de mourir ou par envie de tester, elle tirera une de ces flèches d'amour droit dans le cœur gelait de la créature. Mais cette flèche sera amplifiée par l'aura d'amour que dégagera le jeune esprit des bois. Pour une fois depuis 3 siècles, le peu d'humanité qui restera dans la créature se mit à battre.
La créature sera totalement désemparée, désarmée par la profondeur grise des yeux de l'enfant aux cheveux d'argent.
Ne sachant pas quoi faire de ses sentiments nouveaux. Elle se jettera telle la malédiction d'Héra sur le pauvre enfant.
Mais maintenant, c'était cette chose rose qui la gênera, il lui faudra donc l'éliminer.
Animé par la fureur de se voir rejeter la possibilité de posséder ce qui lui donnera de la nouveauté dans sa froide vie. Elle lancera sa plus terrible arcane envers la gêneuse sans aucune grâce pour la garce qui a fait naître en elle ce sentiment. Elle invoquera le doigt de la mort qui telle un éclair ne laissera qu'une traînée noire d'herbes mortes sur le sol.  

Haletante la pauvre cupidonne dira :
"-Je suis dééésolé. Elle risque de se comporter, bizarremeeent avec toi. Tu, tu es fort. Je sais que tu ne vas pas mourir."

Le jeune demi-dieu comprendra vite que si se petit jeu continue la femme allait mourir, car elle ne possédera ni sa force, ni sa résistance, ni son endurance. L'enfant de neuf ans agrippera la femme mur avec force, il se renverse pour retomber sur ces pieds et sans dire mot, il donne une impulsion pour emmené la belle dans les cieux, vers les étoiles observait plus tôt par le couple nouvellement brisé, laissant la créature d'ombre derrière eux.
Ils retombèrent dans une ruelle un peu en contre bas.
Après la chute, les muscles des jambes de l'enfant lui indiquèrent par une vive douleur qu'une nouvelle tentative ne serait pas sans conséquence.
Il réfléchira vite et vue une rue pleine de gens à cette heure-ci dans le quartier Aselus et il couvrira sa tête de la capuche de son sweat.

"- Mes sœurs disait toujours que le meilleur moyen pour une proie de fuir un prédateur et de se cacher au sein du troupeau, si cette chose arrive, les gens vont prendre peur et fuir dans tous les sens, nous allons fuir avec eux et en profité pour qu'elle perde notre trace. Il faut juste espérer qu'elle nous lâchera une fois qu'elle aura vu le nombre d'humains dans la rue comme le ferais tous prédateur, mais je ne pense pas qu'elle est peur de gaspiller de l'énergie inutilement."

L'enfant ne sera que peu sûr de son stratagème provenant des conseil de chasse de créature bien différente de celle croisait auparavant. Il sourira tout de même à la pauvre femme ne sachant pas que l'aura qui se dégagera de son sourire le rendait plus mignon que tous les animaux que la femme à pus voir dans sa vie et ceux malgré son âge avancé.
Il prendra la main et attendra que l'adulte prenne la décision d'avancer, il était qu'un enfant après tous.

"- Pour la direction, prenait celle que vous voulez tant que l'on reste dans la foule."

Puis l'enfant commencera à baillé, l’adrénaline retombée le sommeil était en train de reprendre le dessus.
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MessageSujet: Re: Il y avait de la lumière, il est entré [aeq] Il y avait de la lumière, il est entré [aeq] EmptyDim 19 Aoû - 12:12

Il y avait de la lumière ~


-Par-là !

Où ça ? Barbara ne le savait pas. Ce qui était sûr, oui, c’était qu’ici n’était pas un lieu sûr. Qu’importe la direction, tant qu’elle fuyait, et cet enfant a son bras viendrait avec elle. Au coin de cette rue et d’une avenue s’amassaient encore quelques bandeaux. Certains filmaient, beaucoup ne faisaient que passer. C’est à eux que menaient les pas de l’ombre rose, qui bientôt glissa entre les quelques silhouettes nocturnes.

L’enfant l’avait dit, non, elle était en sécurité. Le petit suivait la main, le bras suivait le buste ; Barbara suivait son instinct ondulant dans la rue presque sombre. Après avoir esquivé une dizaine de passants, la tentation fut trop forte. C’est ce moment de la fuite où l’on se retourne. C’est une perte de temps, mais impossible d’y échapper. Il faut ralentir pour jeter un œil par-dessus son épaule, et ainsi constater la visibilité.

-Elle est toujours après nous !

Et bien décidée. Entre les adultes se dessine dans la nuit un plus petit corps. La petite fille, ou quoi que ce soit, prend le chemin le plus court. C’est une ligne droite. Personne n’osera se mettre sur cette route, si ? L’un d’entre eux ne s’est pas écarté, pas assez vite. Son buste, bientôt, sera envoyé loin du regard de celle qui n’a d’yeux que pour un enfant grec.

-Oh putain.

C’était une mauvaise idée. Il n’y a pas de troupeau à cette heure-là. Il n’y a que quelques brebis qui se plaisent sous la lumière des étoiles. Éparses, entourées d’ombre, ces rares points de vie sont plongés dans les ténèbres environnantes. Les ténèbres, c’est ce qui jonche le pas d’une petite fille sur le trottoir de quartier Aselus.

Une dizaine d’ongles rose se crispa sous un front désespéré. Mademoiselle Crumble avait peur. Sur ce carrefour du quartier d’Aselus, un choix s’imposait à elle. Y avait-il un seul endroit sur dans cette ville, plus sûr que la fameuse école des héros ? Barbara connaît sa ville, connaît son district ; c’était par là.

La peur, la précipitation, entre ses doigts glissaient toutes ses émotions. Le jeune protégé, quand à lui, était resté à ce carrefour. Elle ne lui a rien dit. Se concerter, ce n’est pas une habitude de Barbara. Elle seule compte à ses propres yeux ; quand elle n’aime personne, elle a ce luxe. L’ombre rose tenait à cette liberté fugace, plus qu’a sa vie. Rien ne comptait plus, à cet instant, que sa survie.

Un nouvel embranchement. Savait-elle encore où elle allait ? La voilà qui bifurque, un peu au hasard. La destination n’avait plus d’importance. L’ombre rose, bientôt, disparaissait dans la nuit. C’était ce qu’elle faisait de mieux, ne jamais plus donner de nouvelle.

Au revoir, jeune éphèbe. Peut-être nous reverrons nous.

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MessageSujet: Re: Il y avait de la lumière, il est entré [aeq] Il y avait de la lumière, il est entré [aeq] EmptySam 22 Sep - 5:02

L'enfant et la femme rose fuiront à travers les rues qui seront peu bondées dû à l'heure tardive dans le parcours de nyx.
La mâne ressentant des sentiments contre-nature pour le jeune enfant de la sylve les poursuivra ne lâchant pas des yeux l'objet de son amour.
La pauvre femme sera comme une créature effrayée, comprenant la fragilité de sa propre mortalité.
Sous les lumières ternes et aussi artificielles que le sentiment de sécurité qu'elle procure, l'ombre de la mort avide avancera ne laissant que dévastation sur son passage.
Dans une forme sadique du jeu du lion et de la souris, elle avance inexorablement vers l'objet de son désir, réduisant à chaque seconde l'écart qui les sépare.

La peur prendra la pauvre femme au moment où celle-ci se retourne et voit l'araignée avancée et elle fuira sans jamais pouvoir quitté sa toile.
L'adolescente aura soif du sang de la dame donc son pouvoir d'amour n'a pas amener l'amour, mais plutôt une nouvelle forme de fureur.
La chercheuse prendra la direction de l'école, mais le monstre d'agonie ira bien trop vite et jamais ils n'atteindront la porte de leur sanctuaire inviolable par cette voie.
Voyant déjà les fils de son destin déjà coupé par les parques, elle lâchera l'enfant, souhaitant de tous son cœur que l'aréoteknon survives à cette rencontre.

"Comment peut-elle abandonner un enfant dans cette situation ?"
Elle ne sera pas connue pour son courage, les mortels contrairement à nous doivent fuir la morts, c'est une fatalité qui les effraient bien plus que nous les immortels qui nous cachons de la vérité. Nous aussi avons un destin qui possède une fin, seule la loi du destin est absolut.
Mais nous allons commencer la partie vraiment intéressante.
" Je vous avez demandé de me révélait un moyen de vaincre définitivement mon clan ? Je pensais que vous allez me révélait un fils d'Arés qui a toutes les raisons de suivre mon combat, là, je ne vois pas où vous voulez en venir ?"
Et bien écoute mon histoire et je te dirais tous.
"Pardon belle dame, je vous en prie continué."
Alors, j'en était où ? Ah ! Oui.

Alors que l'enfant se retournera, il verra Thanatos s'approcher de lui. Bien que la terreur prendra son coeur, se sera son instinct de fils de l'olympe qui prendra le dessus et au lieu de fuir, il prendra la direction du danger et se préparera à l'affronter.
Le spectre voyant son désiré venir dans sa direction avec la même aura menaçante sublimé par la rage du combat. Elle ne sera pas trop habitué qu'une de ses proies se dirige vers elle et elle n'en sera que plus assuré du caractère exceptionnelle de cet enfant.
Alors qu'elle allait donner le premier coup, comme bloqué par la vision de ces cheveux d'argents, elle ne pourra frapper. Phylonmay traversera son adversaire, le seul résultat de son coup sera le fort souffle d'air crée devant la puissance de son poing qui sifflera violemment dans la rue.

Les deux adversaires se feront fasse, le demi-dieu compris qu'il devra utiliser la totalité de sa puissance qu'il avait depuis trop longtemps bridé. Les fils d'Ares meurent jeunes mais aucun d'entres eux ne furent des couard.

"Plutôt des imbéciles."

Sous l'effet de la détermination de l'enfant, l'aura divine autour de lui augmentera exponentiellement à la force qu'il venais de débloqué.
La manne se contentera d'observer son adversaire, pour une raison étrange, il l'a fasciné. Sa détermination à vivre, a repoussé avec autant de facilité les frontières de ce que le vivant semblait capable, pour aller jusqu'à vaincre la mort. Elle en a bien vu chez les mortelles, mais jamais à se point là. L'aura divine maléfique qui l'entourait sera un beau spectacle, spectacle qui en même temps que l'a fasciné, l'effrayera.
Toute aussi intangible qu'elle sera, elle se rendit compte que même si elle est une des représentation de la mort, l'entité en face d'elle est tout aussi destructive.

Elle devra se rendre à l'évidence, elle venait de pousser un être qu'aucun mortel ne voudrait affronter à se révélait. En tant normal, elle aurait fuit, mais une impression étrange insinuée en elle. Elle ne pourra détacher de ses yeux gris.

"- Tu as l'air de vouloir passer aux choses sérieuses, la femme rose était bien comme je le pensais la créature la plus faible. Mais a qu'elle point ta force est elle effective ?"


L'apparition créera un mur de glace qui traverse la rue, il serrait normalement difficilement franchissable pour un simple mortel et elle se placera à l'arrière créant une griffe de glace pour le frappé si jamais il arrive à passés.

Le dieu après avoir libéré sa puissance et laissé le fantôme le mettre au défi, courra vers le mur de glace. Il aura son poing armé et laissant à ces jambes toute leur puissance, marquant le béton d'une crevasse à chaqu'un de ses pas. Il ne donnera qu'un coup d'épaule au mur de glace qui ne le ralentis qu'à peine, le faisan volé en éclats.
Le spectre sera étonné de la puissance du coup et se préparera à frappé, mais avant même que son bras ne puisse amorcé sa chute, Phylonmay sera déjà à son niveau prêt à le frappé.
Comme prie par l'un des dernier instinct de survie qui lui restera, elle placera son bras devant elle pour se protéger.
Comme le mur, la griffe gelait se brisera aussi facilement et la main de l'enfant viendra traverser son crâne immatériel.

Avant que la manne ne reprit son esprit, l'aeroteknon poussera sur ses jambes pour décoller et prendre la direction de son école. La fantôme sentira pour la première fois ce son cœur battre depuis 300 ans.
Il devenait clair qu'elle devais le retrouver et elle se doutait de savoir ou il allait.
Au moment ou elle se retourna, elle tomba sur le fantôme de l'observatoire.

"- Alors Eliza, tu es tombé sur un vivant qui t'a résisté ?"
Le vieux fantôme se mettra à rire.

"- Ne te moque pas, Laurence, répondra-t-elle offusqué. Toi et tes visions n'aviez pas grands choses d'autres à faire ?

- Si justement, Laurence semblera attristée. J'ai partagé ma prédiction à deux vivants, je vais pouvoir reposé en paix. Je venais juste te dire adieu.

- Tu pars ? Non, ne t'en va pas. Je vais encore rester toute seule et...."

L'homme viendra poser sa main sur l'épaule.

"- Nous avons tous quelques choses à finir ici et puis tu ne seras pas toute seule si tu le désires.

- Ah bon, comment ?


- J'ai bien vu comme tu regardais se jeune garçon, tu le dévorais du regard comme tu ne la jamais fait pour aucune autre de tes victimes."


Les joues d'Eliza prendront une couleur cyan tandis que l'homme se mettra à rire.

"- Je ne vois pas ce que tu veux dire, il était bien plus puissant et il est rare d'en voir qui affronte la mort de face et encore moins à réussir à m'échappé.

- Dans tous les cas je quitte ce monde, alors que d'étrange créature semble commençait à le peupler ou peut être qu'elles ont toujours était là ? Je ne sais pas, mais il parlait assez bizarrement et il savait beaucoup de choses sur les fantômes. Tu te rappelles de l'aura étrange qui sortait de son corps ?

- Impossible de ne pas s'en rappelait. C'était une vraie symphonie de destruction et de chaos."

Alors qu'elle dira ses mots l'homme rigolera dans sa barbe et elle reprendra ces couleurs de sa gène.

"- Il est clair qu'il n'est pas humain, il a raconté une drôle de légende sur des créature fantastique. J'ai bien vu des magiciens depuis ma mort, mais je commence à croire qu'il y a vraiment des créature de légende qui se cache parmi nous. En tout cas prend bien soin de toi et fait ton choix. En tout cas bonne chance et je te dis a bientôt."


Le vieux fantôme lui sourira et il disparaîtra.

La mâne restants deviendra invisible et prendra la direction de l'école. Son but sera simple, elle va observer calmement celui qui avait fait battre un cœur mort depuis longtemps afin d'en apprendre le plus possible sur lui.

Le demi-dieu ayant à nouveau bridé sa puissance, il arriva dans sa chambre ou il se fera accueillir par les surveillants qui le puniront pour avoir quitté l'école. Bien sûr personne ne le croira pour cet histoire de fantôme le soir même, mais quand le lendemain les restes de la voiture écrasé par une puissante force mystérieuse qui n'avait pas la forme du petit corps de l'enfant fut découvert, son histoire gagna en crédibilité et il fut convoqué chez le sous-directeur pour s'expliquer.
Il ne racontera pas la rencontre de la dame rose, pour lui éviter des problème, mais il ne mentit pas sur le reste de son histoire.
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Il y avait de la lumière, il est entré [aeq]

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