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Gabi et la maladie du shonen (Cf Gabrielle de Paris et Aequilius Phylonmay)

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Aequilius Fenrirdóttir
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MessageSujet: Gabi et la maladie du shonen (Cf Gabrielle de Paris et Aequilius Phylonmay) Gabi et la maladie du shonen (Cf Gabrielle de Paris et Aequilius Phylonmay) EmptyLun 26 Fév - 18:17

Aux muses permettais moi de conter, la maladie du fils de la forêt. Lui donc la voix pourra calmer les bêtes de leur haine.

Le demi-dieu ne sera pas très en force en ce lundi matin.
La quarantaine battra toujours son plein et voilà plusieurs semaines que les gris bâtiments de béton seront les seuls lieux que le jeune Dryade fréquentera.
Mais en début du mois nommé en l'honneur de son père, il n'ira pas très bien.
Son corps lui semblera lourd, sa tête lui fera mal et il aura froid.
Il aura beaucoup de mal a écouté ce que son angélique professeure tentera de leur apprendre.

En éveil scientifique, il n'écoutera que d'une oreille les histoires de couche terrestre qui forme Gaïa son aïeul. Morphée embrouillera l’esprit du jeune fils d'Ares. Il sera à moitié assoupi et piquera du nez.

En anglais, il ne notera que machinalement ce que raconte sa professeur donc l'accent barbare dénaturera la langue qu'elle essayera d'enseigner.

Durant la cour de musique, la voix de l'enfant des sylves ne sera pas harmonieuse sur ces accords. Il ne chantera pas en même temps que ces camarades.

Et au cours de langue étrangère, alors que la sainte professeure demandera au fils du Carnage de répondre au tableau, il s'écroulera et se perdra dans la torpeur.
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Gabrielle De Paris
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MessageSujet: Re: Gabi et la maladie du shonen (Cf Gabrielle de Paris et Aequilius Phylonmay) Gabi et la maladie du shonen (Cf Gabrielle de Paris et Aequilius Phylonmay) EmptyLun 5 Mar - 12:25

« Bonjour les enfants, j’espère que votre week-end s’est bien passé. »

Un « oui madame » presque machinal sortit de la bouche des élèves, tous étant un peu fatigués de retourner à l’école après deux jours de congés.

« Aujourd’hui, prenez vos cahiers et vos livres de science, nous allons continuer le chapitre sur la tectonique des plaques. »


Un faible rire retentit au loin dans la classe, et je savais exactement pourquoi.

« Monsieur Jordan, peut-être voulez vous nous partager la raison de votre fou rire, n’est-ce pas ? »


« N… Non madame… »

« Bien, alors nous pouvons commencer. Qui peut nous énumérer toutes les plaques continentales ? »


Le cours continua tranquillement, peu de bruit se faisait entendre, je faisais partie de ces professeurs qui ne laissaient passer que très peu de bruits dans la classe. Certains pourraient m’appeler sévère, et ils n’auraient pas tout à fait tort, mais les règles de savoir-vivre en sociétés doivent être inculqués aux enfants dès que possible, et la première de ces règles est de ne pas déranger quelqu’un qui parle.

« Rangez vos cahiers de science, nous allons prendre une pause de cinq minutes, puis nous attaquerons un nouveau chapitre d’anglais, sur les temps du passé. »

Ironique que je sois celle qui donne des cours pour des élèves qui sont nés dans ce langage, et pourtant, je connaissais bien mieux les règles grammaticales qu’eux, c’était le langage « argotissimo » que je ne maitrisais pas.

Ce ne fut qu’au cours de musique que je fis attention au problème qui allait illustrer ma journée, pendant que les enfants commençaient à apprendre le texte de leur chorale et que nous répétions le refrain, une voix, habituellement si mélodieuse, ne se faisait plus entendre que de façon faible et désaccordée par rapport au reste du groupe.

« Monsieur Phylonmay, vous avez un problème ? Vous voulez peut-être aller à l’infirmerie ? »

Un silence et un mouvement de tête me fit changer d'avis, mais il avait l’air de pouvoir tenir jusqu’à la pause déjeuner, alors le cours continua, avec le petit dryade tentant vainement de chanter. J’espère que ce n’est qu’un simple coup de fatigue…

Le cours de français portait sur les pronoms, et plus précisément la conjugaison des verbes, mais Phylonmay ne suivait plus du tout, alors que précédemment il essayait au moins. Pour vérifier s’il a bien tout suivi, ou s’il vaut mieux aller l’envoyer voir monsieur Bonners, je l’appelle au tableau.

« Monsieur Phylonmay, pouvez-vous venir conjuguer le verbe avoir au présent ? »

Il se leva lourdement, marcha lentement… et s’effondra en plein milieu de la classe !

« Mon dieu ! Aequilius, vous allez bien ?! Répondez, bon sang ! »


Il ne répondait plus, il s’était évanoui, c’était la première fois que j’avais à gérer une situation pareille !

« Il… il est mort, madame ? »


Les enfants commençaient à pleurer les uns après les autres, pensant que leur camarade était décédé, mais non, il respirait encore, même si faiblement.

« Calmez-vous, les enfants, Aequilius est juste fatigué, je vais aller l’emmener à l’infirmerie, et je vais vous envoyer un surveillant, soyez sages, compris ? »

Je pris l’enfant dans mes bras, puis l’emporta vers l’infirmerie. Malgré ce que j’avais pu dire aux enfants, j’étais la personne la plus inquiétée par son état, les demi-dieux pouvaient tomber malade ? et si oui, comment pouvait-elle l’affliger autant ? Il n’avait jamais été si mal en point avant !

Après l’avoir emmené à l’infirmerie, je décidais de rester auprès de lui, tant que personne n’était là, je ne pouvais juste pas laisser un élève seul alors qu’il est gravement malade, je ne suis pas une espèce d’irresponsable qui laisse un élève seul.

A peu près vers 14 heures, l’enfant sortit doucement des bras de Morphée, je lui apportais une bouteille d’eau, quelques médicaments pour atténuer la fièvre et la douleur qui s’était installé en lui, et un plateau repas que je lui avais pris au réfectoire. Il fallait bien que quelqu’un s’occupe de lui aujourd’hui, le médecin scolaire était indisponible aujourd’hui.

« Vous êtes réveillé ? Bien, ne bougez plus, vous êtes encore faible, et vu qu’il n’y a personne ici, je vais m’occuper de vous du mieux que je peux. »

J’installais le plateau près de son lit, et pris les quelques pilules pour adoucir son mal.

« Je vais vous demander d’avaler ces médicaments, ainsi qu’une grande gorgée d’eau, d’accord ? »
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Aequilius Fenrirdóttir
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MessageSujet: Re: Gabi et la maladie du shonen (Cf Gabrielle de Paris et Aequilius Phylonmay) Gabi et la maladie du shonen (Cf Gabrielle de Paris et Aequilius Phylonmay) EmptyMar 6 Mar - 20:08

Quand le demi-dieu ouvrira les yeux, il sera dans une salle ou il n'est que rarement allez.
C'est la salle où l'école s'occupe des malades.
Sa professeure tentera de soulager du mieux qu'elle pourra les symptômes du demi-dieu, la fièvre semblera s'apaiser légèrement.
Ces yeux se tourneront vers sa professeur.
"- Dame de Paris ?"
Il tentera de se relever, mais sa professeur l'arrêtera.
Ces muscles seront trop faibles pour le soutenir.
Ce sera à ce moment où trois enfants de la classe Jeunesse vont profiter de la pause déjeuner pour voir si leur jeune ami va bien.

Ce sera Catherine, une jeune ombromancienne. Son pouvoir sera de contrôler les ombres et de pouvoir les rendre solides. Elle porte sur elle des habits sombre comme à son habitude. Phylonmay l'avait déjà protégé des moqueries des autres. La peur des autres élèves vient d'une sombre histoire, un jour ou des élèves plus vieux la bousculèrent pour s'amuser, elle prie peur et elle enverra ses ombres en lacéré un. Il fut blessé légèrement, mais cela servi de leçon et depuis rare seront les élèves qui viendront lui parler.

Ensuite, viendra John, ce sera un gamin arachnide. Son apparence repoussera beaucoup de monde y compris ses propres parents qui l'on abandonné à Laurel. Mais même a la 'sup tout le monde continuera de le traiter de monstre. Le jeune dryades sera l'une des rares personnes qui aura pris sa défense. Sa tête au poil noir et a mandibule sera marqué de 2 paire d'yeux, mais il sera un élève brillant et bien intentionné.

Puis enfin Cassandra, celle que l'on surnomme l'oracle, celle qui voie la mort des gens rien qu'en croisant leur regard. Son pouvoir sera de voir la toile du destin et de la lire. Elle sera crainte et rejeté par les autres pour ces pouvoirs, mais le fils d'Ares sera le seul à lui tendre la main. Elle porte toujours des gants en soie, car se sera par le touché que son pouvoir s'activera.

Ils formeront avec l'enfant des sylves, un petit groupe d'amis. Ils seront au début reclus par les autres, mais avec le temps et de la bonne volonté, ils ont finie par à peu près se faire accepter par les autres.
Du petit groupe, ce fut Catherine qui s'avança.
"- Madame De Paris, désoler de vous déranger, mais comment va monsieur Phylonmay ?" Demandera-t-elle.
Le jeune garçon laissera sa professeur répondre à cette question, connaissant l'amour de la Dame angélique pour la procédure.
John l'observera l'air inquiet, puis il s'approchera de son ami et lui dira :
"- Tu te bat depuis trop longtemps contre ça, tu aurais dû en parler avant."
Un léger sourire apparaîtra sur le visage de la dryade.
"- Incarné la nature même de la guerre telle est le devoir de tous fils d'Arès."
Il se mettra a rire, cette phrase que les dryades lui auront tant de fois répété et qui dans ce contexte sera très ironique.
"- Ne faites pas cette tête, je ne suis pas mort."
"- Oui, mais on t'a toujours vue te tenir droit en toute situation, c'est bien la première fois que l'on te voit comme ça."
Cassandra, approche ensuite.
"- Je sais ce que tu vas me dire, je te l'avais bien dit, comme d'habitude."
"- Et comme à ton habitude, tu ne m'as pas écouté. A quoi ça sert que je te parle, si tu ne m'écoutes pas ?"
"- Parce que personne ne t'écoute." Dirat-il en la regardant d'un œil amusé.
Elle ne soufflera qu'un "idiot" entre ces dents comme seule forme de réponse.
Tout d'un coup, la douleur et la fièvre reprendront de plus belle et le jeune garçon poussa quelque gémissement étouffé de douleur avant de repartir dans ses songes.
Tous seront étonnés par la rapidité avec laquelle la douleur va frapper.
Cassandra se tournera vers sa professeur.
"- Ma dame, il n'est pas normal qu'un demi-dieu tombe malade, j'ai vue par mes visions que cela allait arriver et que ça ne va pas s'améliorer. Je peux peut-être avoir des indices sur ce qui va mal chez lui. Mais pour cela, il faut que vous m'autoriser a scruté son futur, vous êtes d'accord, madame ?"

Elle soutiendra le regard de sa professeur, ces yeux d'or seront plein de détermination. Cassandra soutient rarement le regard des personne autour d'elle, encore moins le regard inquisiteur de la dame de pureté.
La fille de l'archange donnera son accord et Cassandra sourira.
Elle retira délicatement le gant en soie qui recouvre toujours ses mains et elle se prépara à toucher sa peau.
Elle prendra une grande respiration, pendant ce temps ses deux amis se mirent de par et d'autres derrière elle. Ce ne sera pas la première fois qu'ils se livraient a ce genre d'expérience.

Elle touchera sa peau brûlante et ses yeux se révulsèrent. Elle perdra l'équilibre, mais ses deux amis la rattraperont. Elle parlera dans la langue étrange des contré barbare du nord, puis elle sera prise de spasme et cherchera l'air, puis d'un coup elle reprendra sa respiration.
Elle se tournera vers la sainte femme.
"- J'ai vu une forêt mourir et un cahier cachais dans le troisième tiroir d'une table de chevet."
Catherine aidera Cassandra à se remettre sur ces pieds.
Elle tournera la tête vers le malade et elle ne lui adressera qu'un regard triste.
John prendra la parole.
"- Ma dame, si vous avez besoin, on est prêt à vous aider."
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Gabrielle De Paris
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MessageSujet: Re: Gabi et la maladie du shonen (Cf Gabrielle de Paris et Aequilius Phylonmay) Gabi et la maladie du shonen (Cf Gabrielle de Paris et Aequilius Phylonmay) EmptyMar 15 Mai - 15:13

« Tu es tombée malade ? »

La petite Gabrielle tentait de maintenir le regard de la demoiselle qui se tenait en face d’elle, sa musculature avait beau être bien moins développée que la petite malade, elle semblait tellement plus imposante, plus forte, il était difficile de ne pas être impressionné par sa prestance.

« Tu sais, à force de t’entrainer dehors, seule le soir, ce n’était qu’une question de temps avant que tu ne finisses par tomber d’épuisement… »


Elle eut un petit air surpris, et finit par stopper sa vaine tentative de regarder la personne en face, elle n’était de toute façon pas en état de la défier du regard.

« Tu sais, je ne te comprends vraiment pas, pourquoi est-ce que tu t’obstines à suivre un code d’honneur ancien de bientôt 7 siècles ? La chevalerie est morte depuis longtemps, de plus, cela ne sied pas à une dame de ton acabit. »


Elle s’approcha, et releva le menton de la petite malade, pour l’aider à la soutenir du regard.

« Regarde-toi, tu es absolument magnifique, des yeux bleus comme l’océan, un visage sans un seul petit défaut… tu devrais songer à te faire un faux grain de beauté, au niveau de la joue, cela te sublimerait, vraiment. Et puis tu pourrais profiter de ta maladie pour réviser tes cours de rhétorique, on dirait que tu es constamment dans mon ombre lorsque l’on parle de discours. »


La petite sortit un rire ironique, elle n’aimait pas les faux grains de beauté et celle qui venait s’installer au coin du lit le savait.

« Tu représente vraiment ce que je déteste le plus dans la noblesse d’aujourd’hui, tu es une manipulatrice, une vipère, qui se cache derrière un faux grain de beauté pour dissimuler tes crocs. »

Cette fois, ce fut celle en bonne santé qui sortit un rire ironique avant de sortir après un court silence :

« …Je t’aime, petite sœur. »

« …Moi aussi. »

Elle souffla la bougie et referma la porte, laissant la petite Gabrielle dormir.

Je me remémorais ce souvenir alors que je revitalisais à coup d’imposition des mains la petite dame qui était particulièrement fatiguée de l’utilisation de son don. C’était une mauvaise idée de la laisser tenter ceci, j’avais oublié les séquelles que cela pouvait entrainer. Je me retournais vers les enfants qui voulaient toujours m’aider, mais cette fois je refusais fermement.

« Non. C’est une mauvaise idée, laissez le se reposer pour le moment, j’irai voir en quoi ce document pourrait nous aider à soigner sieur Phylonmay, pour le moment, sortez de l’infirmerie et allez jouer. »

Je laissais les autres sortir, ignorant leurs possibles protestations, et, avant de sortir, regardais l’enfant une dernière fois.

« Reposez-vous bien, Phylonmay. »

Je pris la direction de la chambre de l’enfant, que beaucoup de personnes évitaient d’habitude. La chambre 2 avait une sale réputation de chambre maudite depuis sa création. Elle était toujours remplie de personnes considérées comme peu recommandables, ou avec un don néfaste. J’ouvris la porte après m’avoir assuré qu’elle était vide, puis sortis un cahier d’une des tables de chevet de la chambre.

Voyons ce qu’il contient.
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Aequilius Fenrirdóttir
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MessageSujet: Re: Gabi et la maladie du shonen (Cf Gabrielle de Paris et Aequilius Phylonmay) Gabi et la maladie du shonen (Cf Gabrielle de Paris et Aequilius Phylonmay) EmptyJeu 31 Mai - 0:42

Les enfants protesteront quand la professeur leur demandera de partir, mais ils s’exécuteront. La pauvre petite oracle sera aidé par l'homme arachnide.
Pour le pauvre demi-dieu, sa tête tournera trop pour qu'il puisse dire quoi que se soit.
Ces derniers souvenirs seront une voix douce lui souhaitant un bon repos, puis il repartira dans les bras de Morphée.

Pendant ce temps, la fille du paradis ira jusqu’à la chambre 2. La chambre démontrant par ce choix que même dans ce lieu d'étude, on voit le jeune fils d'Ares comme une menace, car cette chambre verra dormir en son sein des personnes peu recommandable et donc les pouvoirs sont tournés vers les forces obscures.
La noble dame entrera prudemment, espérant peut être ne pas tomber sur une des engeances que cache cette chambre.
Elle prendra comme lui sera prédit le journal.
Si les premières pages contiennent uniquement des ligne de texte marqué dans la langue de ce continent lointain, mais aussi en grec civilisé. L'enfant aura appris à écrire sur ce carnet.
Et cela, la noble dame le comprendra vite et sauta les pages vers la fin pour y trouver ce qu'elle recherchait.

"Le monsieur psychologiste de la 'sup m'a demandé de consigner mes rêves et mes pensées dans ce carnet, il m'a expliqué que c'était pour m'aider à extériorisé. Je ne comprends pas as là où il veut en venir, mais bon, puisqu'il me le demande."

Les autres pages sont une sorte de compte-rendu journalier, souvent les rêves y sont sans réelle importance, d'autres écris seront plus important.

"Parfois, dans mes rêves, je revois la forêt ou je suis née, cet endroit me manque. Cette forêt n'a rien a voir avec le bois qui se trouve hors de la ville, lui, il a des feuilles malades qui deviennent jaune au printemps et qui tombe en hivers. Pourtant, chaque printemps, il crée de nouvelles feuilles saines, mais elle tombe toujours malades. Je ne comprends pas bien pourquoi ?
Enfin, je reviens à ce que je tenté de dire, hier soir le rêve est devenue mauvais.
Tous se passaient bien jusqu'à que j'entende maman m'appelait, puis elle s'est mis à criée, puis à hurler comme le jour ou elle est partie.
J'en ai bien parlé à monsieur Xann, mais il ma juste dit que le temps effacerai tous, que je ne devrais pas m'inquiéter.
Tout ce que je sais, c'est que je veux ma maman et retourner chez moi.
Mais des sales animaux me l'ont volé."


De temps en temps, des rêves du même genre reviendront.
Bien qu'il y aura au milieu une mystérieuse histoire de fantôme et de femme aux cheveux roses.
Mais plus on se rapprochera de la fin du carnet plus ce genre de rêve deviendront fréquent.
À t'elle point que le jeune enfant prendra la décision de ne plus dormir, cette décision date d'il y a 3 jours et pourtant l'enfant avait remarqué une montée de la température et se plaindra d'avoir parfois la peau chaude depuis à peu prés un mois.

Ce qui faisait peur à l'enfant est surtout que dans ces cauchemars mettant en scène la mort de sa mère avec une description suffisamment précise pour ce dire qu'il aurait vue la scène de ces yeux.
Il parle aussi d'une ombre noir à l'allure menaçante qui se rie de son malheur et cette ombre l'invitera à exulté sa haine.

Autres choses d’intéressant se trouvera dans le carnet, il y aura une adresse qui mènera au vieux quartier proche du lieu de culte saint Omalet. L'adresse est entourée de rouge et il y aura une petite note à côté "De nombreuse fois répétée et à l'intention de celui qui lira le carnet".

Au même moment, l'enfant sera dans son rêve, il sera au bord d'un ruisseau en train de grimper à un arbre pour en récupérer les fruits.
Quand il entendra sa mère et il se retournera pour tenter de la rejoindre, mais la une ombre noir menaçante lui bloquera le passage.
L'enfant aura peur, mais prenants ce qui lui restait de courage en main, il lui demandera.

"Qui.. Qui êtes-vous ?"

L'ombre rigolera et plantera son regard dans les yeux de l'enfant.

"Je suis la guerre, je suis la violence, je suis le massacre, je suis ce que tu es."

L'enfant fut prie d'effroi.

"- Non, c'est faux. Tu n'es pas moi."

"- Si, je suis ce que tu as toujours refoulé par faiblesse."

L'enfant tiendra bon et viendra frapper son alter-égo, mais l'ombre se téléporta derrière le demi-dieu.

" Oui, laisse éclaté notre colère fils d'Ares. Montre un peu ce que peut faire le futur dieu du massacre."

L'enfant tenta de chasser l'apparition d'un revers de la main, mais l'ombre se laissa traversa par la main.

" Je suis ce qu'on ta toujours demander d'êtres et l'image que tu as toujours renvoyé."


"- Ce n'est pas parce qu'on te dit que tu dois te pendre, que tu dois obligatoirement le faire."

L'ombre rigolera devant la remarque de l'enfant, puis il répétera religieusement ces mots.

"- Des sa naissance un Fils d'Ares doit s'entraîner qu'a une seule chose, êtres un guerrier.
Et ils osent croirent nous arriver à la cheville.
Nos talents sont inégalables."


L'enfant répétera les leçons de la louve guerrière et de l'angélique demoiselle.
"- Un guerrier protège avant tous ça famille et se montre loyal envers ces principes.
Tous dons, talents ou facilité demande de la rigueur."


"- Incarné la nature même de la guerre telle est le devoir de tous fils d'Ares."

"- Le devoir d'une dryade est de protéger le clan."

L'enfant tiendra le coup et l'ombre rigolera et prendra une forme bien plus effrayante.

"- Tu es pugnace, mais tu finiras bien par accepter ton destin et oublier tes faiblesses. Ton destin est déjà écrit, mon fils."
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Gabrielle De Paris
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MessageSujet: Re: Gabi et la maladie du shonen (Cf Gabrielle de Paris et Aequilius Phylonmay) Gabi et la maladie du shonen (Cf Gabrielle de Paris et Aequilius Phylonmay) EmptyDim 3 Juin - 15:07

Je n’aime pas ce que je suis en train de faire, fouiller dans les affaires des élèves comme cela, mais le don de Cassandra ne se trompe jamais, si la maladie pouvait se soigner, la solution se trouvait forcément dans le journal entre mes mains…

Je suis quand même dubitative, comment un simple journal pouvait-il contenir un remède à une maladie ?

Les enfants étaient encore plus compliqués que ce que je pensais… Depuis que Fioré habitait chez moi, j’avais pu comprendre un peu mieux mes élèves et comment ils fonctionnaient.

Je me demandais comment il allait s’intégrer dans la classe… mais vu comment Aequillus savait parler aux gens plus timides, je ne me faisais pas vraiment d’inquiétudes à ce sujet.

Entre les cauchemars d’Aequillus sur la mort de sa mère, et ses peurs en elle-même, je commençais à me sentir mal d’envahir sa vie privée comme ceci, le pauvre avait vécu des choses qu’un enfant n’aurait jamais dû vivre, et il n’y avait rien que je pouvais faire pour l’aider à surmonter ça, à part l’accompagner.

Une autre chose qui attira mon attention fut la description d’une jeune femme aux couettes roses qui avait rencontré l’enfant, une femme en rendez-vous amoureux…

Et il semblerait qu’elle se soit encore fait avoir par un paysan un peu plus beau parleur qu’un simple idiot. Et ni Aequillus, ni Barbara n’ont jugé bon de m’en parler, évidemment. Je n’aime pas que l’on me cache ce genre de chose, Barbara, nous aurons une discussion à mon retour, surtout que tu pourrais avoir une mauvaise influence sur mes élèves.

Enfin, la dernière chose qui me surpris fut une adresse, semblant être importante pour le petit demi dieu, cela pourrait peut-être mener à quelque chose… Eventuellement.

Les cours étaient terminés depuis un moment, je profitais du début de l’après midi pour aller à cette fameuse adresse, un lieu de culte à un saint que je ne connaissais pas, un certain Saint Omalet…

Une petite barraque dans les vieux quartiers, un vieux lieu de culte presque abandonné par ses fidèles, cela me rappelait un peu certains quartiers de France.

J’entrais dans le vieux bâtiment, et commença à jauger un peu les lieux.

« Bonjour, est-ce qu’il y a quelqu’un. »
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Aequilius Fenrirdóttir
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MessageSujet: Re: Gabi et la maladie du shonen (Cf Gabrielle de Paris et Aequilius Phylonmay) Gabi et la maladie du shonen (Cf Gabrielle de Paris et Aequilius Phylonmay) EmptyVen 20 Juil - 15:03

Alors que la dame rentrera dans le vieux bâtiment, elle verra que les murs sont recouverts de plante, comme si la nature avait repris ces droits au sein même de la cité.

Elle dira :
« Bonjour, est-ce qu’il y a quelqu’un. »

Elle verra sortir une femme aux cheveux dorés et aux yeux verts de la porte. Elle aura autour d'elle, une aura surnaturel de beauté.

"- Bonjour madame que puis-je pour vous ?"



Pendant ce temps dans le rêve de l'enfant, le tout-puissant dieu de la guerre transpercera de son regard son fils.

"- Tu es une déception, tout ce que tu dois être, c'est un guerrier puissant et faire de ces frêles mortels tes esclaves. Pourquoi apprendre à manier tes pouvoirs, alors qu'il te suffirait de mettre cette ville à feu et à sang ?"

L'enfant des sylves sera en train de pleurer et de reculer devant l'image de son père.

"- Mais je n'ai envie de faire mal à personne."

Arès ricanera d'un rire lugubre.

"- Allons nous le savons tous les deux que c'est ce que tu as toujours eu envie, avoir du sang sur le bord de tes doigts, sentir la vie échappée à l'emprise de l'être donc tes mains viennent de transpercer la poitrine. Sentir son dernier battement de cœur. Oui, tu en as toujours eu envie, mais les autres tant empêche en te demandant de te contrôler."

Le demi-dieu sera horrifié par ces mots qui sont le constat d'une triste vérité, le soir où la fantôme avait retiré la vie de cette femme, il avait ressenti un certain plaisir en voyant la voyant mourir.
Il baissera la tête, des larmes couleront sur ces joues.

"- Réfléchi un peu, pourquoi il te demanderait tant de te contrôler, s'il ne te craignait pas. Ils savent de ce que tu serais capable et il te haïsse pour cela, comme tes sœurs et comme ta mère."

L'enfant hurlera :
"- Non, c'est faux, tu n'es qu'un menteur."

Arés rigolera de plus belle.

"- L'innocence et la loyauté qu'un enfant aussi jeune peut éprouver pour sa mère disparue trop tôt.
Mais dit moi, qui a allumé l’incendie ?
Ne l'as-tu pas souhaité quand elle te frapper pour que tu lui obéisses ?
Qui a donné son souffle aux dieux mânes autres que le sang matricide ?"


L'enfant reculera, totalement désemparé prie par des souvenirs qu'il aura enfouis au plus profond de sa psyché.
Quelle horrible garce sera notre mère, puisse les dieux mânes l'emportaient loin de lui.
La peur, mon enfant, la peur sera le moteur de ces agissements. Comment réagirais-tu si l'enfant conçu dans la violence montrerait certaine des qualités terribles de son père.
Que son animus soit à jamais consumé au sein du Styx.

Alors que l'enfant sera totalement paniqué par le retour brutal de ces souvenirs enfouis, il entendra une voix douce à son oreille.
"- Réveille-toi, ouvre les yeux, sort de ton cauchemar."

L'enfant utilisera le peu d'énergie qui lui restera pour tenter d'ouvrir et de fermer les yeux afin de sortir de son mauvais songe.
Alors qu'il ouvrira les yeux embué de larme, il verra un visage flou au-dessus du sien. Il essayera avec difficulté de s’essuyai les yeux avec le revers de sa manche. Tout geste lui étant difficile, à cause, de la fièvre.
C'est alors qu'une main froide comme la mort fera ce que sa faiblesse lui empêchera de faire.
Quand il peut enfin voir le visage, son cœur sera prie de peur. Ce sera un visage qu'il aura déjà vu, le visage froid et impassible du fantôme qui avait tenter de le tuer quelques semaines auparavant.
La créature lui sourira, mais le fils de l'Olympe tentera de la chasser d'un revers de la main difficile et mou.
La créature lui dira alors :
"- Du calme, tu n'es pas en état et si j'aurais voulu te tuer, je l'aurais fait dans ton sommeil."
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