AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  


Le Deal du moment : -20%
Drone Dji DJI Mini 4K (EU)
Voir le deal
239 €

Partagez|

Passer en courant d'air en air. [Eole Brook, 34eme Eole]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
Message
Eole Brook
Eole Brook
❝ PT. EXPERIENCE : 20
Mythologique


: B

MessageSujet: Passer en courant d'air en air. [Eole Brook, 34eme Eole] Passer en courant d'air en air. [Eole Brook, 34eme Eole] EmptyDim 14 Avr - 13:17




JOKER



Non, mais on... On est pas obligés de se foutre sur la gueule, si ?


EOLE
Prénom
BROOK
Nom
27 ans
Age
Homme
Sexe
Humain
Espèce
USA, ville de New York
Origine
1M87
Taille
Journaliste
Métier
8 Mai 1993
Date de naissance
bientôt une
Année à Laurel
En plus

❝ PARTICULARITÉS : Adore les jours de vent, mais fuit les aspirateurs (passer l'aspirateur le met très en colère et le vexe pour toute la journée)

❝ TICS ET MANIES : N'arrive pas à rester en place, complètement immobile. Déteste attendre aussi. Il a horreur de ça. Vraiment.

❝ PASSIONS : La photographie, le journalisme, la Capoeira et le Kendo. Et les beaux paysages aussi.

❝ PHOBIES : Aucune véritable phobie connue. Juste la peur de l'orage.

❝ BUT : Décrocher un gros scoop bien classe.

❝ RÊVE : Ne plus voir de haine ni de racisme sur Terre. Et chez lui, dans un premier temps.

Caractère

Toutes les incarnations d’Eole avaient ceci en commun : la candeur, sans être forcément bons ou mauvais. Bien entendu, il y en a eu qui ont causé du tort à autrui, des bandits, des meurtriers, des chasseurs de prime… En plus de trente vies, il était impossible pour Eole de n’être que bonté… Et puis, n’être que bonté, quel ennui… Mais ils ont toujours été globalement candides. Pas de là à ne pas réfléchir avant d’agir, ou à se jeter dans la gueule du loup au premier piège tendu. Le sixième Eole, par exemple, était un bandit de grand chemin qui torturait et tuait à la première occasion, et le vingt-neuvième était un chasseur de prime qui prenait du plaisir à traquer longuement sa proie. Mais ils restaient des personnages candides. Ah… Vive la contradiction…

Eole Brook a donc hérité de cette candeur, qui lui offre un regard un peu bercé d’illusions sur le monde. Et ce malgré ses heurts avec les forces de l’ordre. C’est d’ailleurs cette candeur qui l’a poussé à faire usage de ses compétences pour aider son prochain. Tout cela n’est parti que d’un constat très simple : si je peux faire mieux que les autres, alors je le ferai pour les autres.

À cela s’ajoute une forte tolérance, qui fait qu’il est impossible d’énerver Eole par accident. Il faut vraiment pousser pour qu’il commence à sortir de ses gonds. Et encore… Eole est quelqu’un de très calme qui aura tendance à tout tourner en dérision si jamais il se sent trop touché par ce qu’il se passe.

Enfin… Calme… sa candeur est aussi doublée d’une certaine hyperactivité, qui fait qu’il ne peut pas rester en place. Il doit toujours être en mouvement, bouger, courir, danser, sautiller… L’immobilité est totalement hors de propos pour lui. Il parle aussi beaucoup. Parfois trop. Et parfois fort. Il en devient parfois exaspérant et gonfle rapidement ceux qui n’arrivent pas à faire abstraction de cette facette de sa personnalité.

Dernier détail, la mémoire d’Eole. Eole garde en mémoire les expériences physiques de ses précédentes vies. Il est donc capable de forger des armes, de se battre à l’épée, il connait la Capoeira, et ne se tape pas la honte en battle de danse ou sur le dancefloor. Après, toutes les choses intellectuelles qu’il aura apprises ayant disparues, Eole est loin d’être un vieux sage. Il donnera parfois de bons conseils comme « Écoute, parfois, tu parles au gens, tu crois que c’est les bons gens, mais en fait, c’est pas les bons gens. » ou « Non, mais là, moi, je le mangerais pas ce beignet. », voire « Pour la draguer, c’est simple : tu vas la voir, tu danses comme un dieu, tu l’invites, et… tu espères savoir danser. » Bref, il a beau être journaliste, et avoir écrit un magnifique article sur le racisme dans les forces de l’ordre, il est quand même un jeune qui sait pas toujours de quoi il parle quand il n’est pas au travail.

Wydwen
■■■ LE DON ■■■

❝ ORIGINE : Mythologique

❝ DON : Héritage d'Eole

Comme les 33 Eoles précédents, Eole Brook peut contrôler les souffles et les déplacer à son gré. Il peut les concentrer autour de la lame de sa gunblade pour la rendre plus tranchante, ou les diriger pour porter divers objets légers. Par exemple, de cette manière, il peut rendre tranchant un lancer de confettis. Carnaval, c'est dangereux pour les criminels, en vrai.

❝ MAÎTRISE : 9 / 10

❝ POINTS FORTS :
Le don d'Eole et sa synergie avec son style de combat (un mélange entre Capoeira et Kendo, qu'il a voulu appeler le Ca-K Style, avant de se rendre compte que le nom puait la merde) dans le sens où sa lame devient plus affutée, et où il peut accompagner ses mouvements de souffles chargés de confettis pour être plus redoutable en combat rapproché sans armes.

❝ FAIBLESSES : Son don déborde de faiblesses.
Les fortes concentration de chaleur rendent sa maîtrise des souffles inutile, puisque la circulation de l'air y est perturbée (et que ses confettis brûlent...)
Le sable va alourdir la charge que le souffle va porter, et l'empêcher de trancher (après, on peut toujours le mettre dans les yeux... mais c'est moins efficace)
L'eau va aussi alourdir le souffle porté, voire l'annuler. Eole est impuissant les jours de pluie (toute ressemblance avec un certain personnage est totalement volontaire.)
Eole ne peut pas générer lui-même de souffle assez puissant et son arme ne dispose que de six cartouches pour générer des souffles d'explosion. De plus, un souffle s'épuise très rapidement si il est concentré. (N'est plus tranchant à 4M, disparaît à 6M)
Ensuite, Eole a besoin d'avoir au moins une main libre, pour diriger le souffle. Il peut le faire avec ses doigts, mais c'est moins précis et le souffle peut lui échapper.
Enfin, Eole ne peut pas diriger les aspirations, simplement les souffles. Les tornades, bah il y peut rien.

■■■ LE MATÉRIEL ■■■

❝ COSTUME : Un masque de théâtre japonais blanc avec des fleurs, un chapeau de ronin, un kimono rouge, un sarouel et des gettas. MAIS QUEL WEEB !!!

❝ ARME : Sa gunblade, avec un barillet six coups. Il a besoin d'un outil spécial pour la recharger, et ça lui demande beaucoup de temps (genre dix bonnes minutes).
Les cartouches contiennent énormément de poudre pour générer un énorme souffle, mais n'ont pas de projectile. Il peut y rentrer des cartouches de fusil classiques, m ais ça va lui demander du temps pour changer le contenu de son barillet.

❝ GADGET : Une sac de confettis en forme de pétales de fleur de cerisier. WEEBNESS !!!

❝ VÉHICULE : une moto volante. Parce que c'est un peu le tur-fu aussi quoi.
Histoire

IIIeme siècle avant JC

« Eole, je pense que tu fais erreur. Jamais le Monde des Hommes ne saura se détourner de nous. Nous sommes trop grands, et notre présence parmi eux est trop importante. »

Sa main sur mon épaule, Dionysos essaie de me retenir. Du sommet du Mont Olympe, je regarde ces êtres à qui nous avons tant apporté se détourner peu à peu de nous, nous oublier… Et s’ils ne le font pas aujourd’hui, ils le feront demain. Les vents me portent et me comptent tant d’histoires, venues de contrées lointaines. D’Orient, D’Occident, du Nord, du Sud… Toutes ces belles légendes, tous ces autres Dieux… Et CE Dieux. Celui que des barbares nomment Dieu Unique… Yahweh… Je ne sais guère comment, je ne sais guère pourquoi, mais son influence grandit de jours en jours. Et j’ai peur. Peur qu’elle ne surpasse la nôtre.

« Zeus, Arès, Era, et maintenant toi ? C’est à croire que seul Hadès a su voir juste… A su comprendre ce que je me tue à vous raconter. Les Divinités ne sont pas éternelles, nous dépendons de ceux qui croient en nous. Et moi… Moi… Je refuse de disparaître. Si les Vents peuvent continuer à virevolter librement, Dionysos, je le puis aussi. »

Je soupire, las. Pourquoi ne le voient-ils pas venir ? Si demain, plus personne ne parle des Dieux, nous ne serons plus rien. Rien, si ce n’est une trace écrite, peut-être, quelque part. Et moi, j’ai tant de choses à faire, à voir. Je veux voir les Hommes évoluer, je veux découvrir jusqu’où ils iront. Je veux explorer leurs possibles, vivre à leurs côtés. Je veux être là pour ceux qui en ont besoin.

« N’essaie pas de me retenir, mon cher. J’ai fait mon choix. Borée, Euros, Zéphyr et Notos continueront à se promener librement, tantôt pour porter les espoirs des Hommes, tantôt pour les punir. Je sais que mes fils continueront à remplir cette tâche, et ce malgré mon absence. Car contrairement à nous, ils représentent quelque chose que les Hommes peuvent voir, peuvent ressentir. »

Dionysos lève sa main. A t’il renoncé à me retenir ou va-t-il tenter quelque fourberie afin de m’enchaîner au Mont Olympe ? Même si ce n’est pas son genre, je reste sur mes gardes. Les miens sont vicieux, souvent cruels. Mais alors que je m’apprête à rejoindre Hadès, rien ne se passe. Il a donc abandonné. Tant mieux.

A mesure que je descends les Marches du Royaume des Morts, je sens monter la colère de Zeus. Dehors, une tempête éclate, et des éclairs zèbrent les cieux, cherchant à blesser mes enfants. Pourquoi Zeus est-il si troublé à l’idée que je puisse devenir Mortel ? N’a t’il pas peur de ce qu’il se passerait si… Enfin, je radote.

Au bord du Styx, Hadès m’attend, droit, fier, veillant sur les âmes des morts.

« Eh bien, mon cher Eole… Ta décision est-elle vraiment prise ? Tes choix sont-ils irrévocables ? »

Je n’hésite guère le moindre instant.

« Oui Hadès. T’en tiendras-tu à notre accord ? »

Il éclate de rire, visiblement offusqué à l’idée que je puisse remettre sa parole divine en question.

« Les Moires et moi-même veillerons éternellement à ce qu’à chacune de tes morts, tu ne sois pas envoyé au Styx, mais redirigé vers une nouvelle vie, immédiatement. Sache cependant que je ne te garantis en rien que tu te souviennes de ce qu’il se passe dans chaque vie que tu traverseras. »

La mémoire… Est-ce là quelque chose de bien important ?

« Tant que mon nom ne disparaît pas, je n’ai que faire du reste. Si je ne me souviens ni de qui j’ai pu être, ni de qui j’ai pu rencontrer, je ne vois pas de raison d’être triste. »

Hadès hausse les épaules, et fait signe aux Moires d’approcher. Elles me tendent un fil, et une paire de ciseaux. Ce fil, si doré, si brillant…

« Oui Eole, c’est bien toi. Et si tu désires entamer ton pèlerinage au travers du Temps, tu devras le couper par toi-même. Cependant, hâte toi, et tranche sans faillir. Car si tu hésites, Zeus pourra t’en empêcher. »

Je fixe la vieille femme qui vient de prendre la parole, et lui sourit, tranchant fermement le fil de mon destin. Les ciseaux se ferment. Tout est noir.


Quelques siècles et millénaires plus tard :

Eole Brook, 34eme vie d’Eole.

Le bon vent qui m’emmena, une autobiographie d’Eole Brook
Extrait a écrit:

« Donc reprenons, Brook… »

« Allons, depuis que l’on se connaît, appelez-moi Eole. Je suis ici presque une fois par semaine parce que depuis mon article sanglant sur les délits de faciès contre la population afro-américaine à New York est paru, et a été primé… C’est à croire que vous supportez mal la critique, chers amis. »

Commissariat de Brooklyn, 5 juin 2019. Qu’est-ce que je fous ici ? Je regarde la table à laquelle je suis menotté depuis maintenant deux bonnes heures… Combien de fois suis-je venu dans cette salle d’interrogatoire déjà ? Dix ? Vingt ? J’en connais chaque détail à force de la scruter, jour après jour, contrôle après contrôle, arrestation après arrestation. Je connais chaque bruit de pas, chaque courant d’air déplacé me murmure ce qu’il se trame.

En face de moi, Bill, je vais l’appeler Bill, me fixe avec haine et dégoût. Alors récapitulons : nous sommes en 2019. Il y a eu un président noir à la tête des Etats Unis d’Amérique. L’esclavage est aboli depuis maintenant quelques siècle et toutes les lois liberticides visant les noirs ont été rendues illégales. Des dizaines d’associations se battent tous les jours afin que l’on cesse de traiter l’homme noir comme un voyou, comme de la racaille… Et à cela s’ajoute le fait que la haine devrait être redirigée vers les dotés maintenant… Mais non, ici, à New York, dans les bas-fonds du Bronx, si tu es légèrement suspect, mendiant comme puissant, tu finiras au poste. Parce que certains ont encore du mal avec ce peuple qui ne cherche qu’à s’intégrer.

« Fais pas le con avec nous, Brook. Tu sais pourquoi t’es là. »

« Oui, je sais, parce que je suis noir et que j’ai osé vous critiquer, vous, dépositaires des pouvoirs publics. »

De toute façon, je peux jouer au con pendant encore un petit moment. Si je compte bien, mon avocat devrait être là dans pas moins de vingt minutes, et ce n’est que maintenant que ce cher « Bill » a décidé de me parler. Ils veulent donc jouer sur mon agacement pour me pousser à l’outrage.

« Non Brook, t’es là parce que t’es un sale négro. Et les sales négros dans ton genre, avec certains collègues, on peut toujours pas se les encadrer. »

Quelle différence avec ce que j’ai dit ? Enfin… Il ne le voit pas, mais moi, je la sens, cette légère brise qui passe sous la porte de la salle d’interrogatoire miteuse dans laquelle ils me gardent enfermés. Je m’amuse avec un moment, bougeant mes doigts comme si je réfléchissais, lui faisant faire quelques tours et détours, toujours autour de la porte.

De son côté, le flic me fixe un moment, sans ajouter quoi que ce soit. Je sens du dégoût en lui… Mais il ne dit rien. Moi, ça m’arrange. Je préfère jouer comme ça, avec cette brise, si douce, si légère… Si libre… Quelque chose au fond de moi se sent réconforté. Comme si ce léger bout de brise essayait, de si loin, de m’étreindre tendrement. Puis elle se dissipe. Quelqu’un a ouvert la porte… C’eeest… Moooooon… AAAAAAAAVOOOOOCAAAAAT !!! ENFIN !!!

« Salut Lewis ! Putain, t’en as mis du temps !! T’étais à Brooklyn à gérer un délit de faciès ou quoi ? »

Il retient son rire, mais je vois à son regard qu’il est amusé. Lewis et moi, on se connaît depuis qu’on est tout petits. Lui, c’est le seul du coin à savoir vraiment que je suis un Héros. Il sait tout de ma vie, c’est mon homeboy quoi. On a fait les 400 coups ensemble, on a lancé un groupe de hip-pop ensemble, et on a pas mal écumé les bars ensemble… Quand on ne planifiait pas mes sorties nocturnes ensemble. Il m’a vu forger mon arme, il a défendu la victime du premier criminel que j’ai arrêté… C’est le feu quoi.

Enfin, il est là, et tout s’enchaîne très vite. Il râle, le flic aussi, mon avocat l’accuse de racisme, le flic le menace, Lewis lui rappelle que tout cet entretien est enregistré et qu’il pourra le traîner en justice pour ça, on finit par me lâcher avant que Lewis ne trouve une nouvelle faille pour que Bill soit mis à pied. C’est super rapide quoi !! En un rien de temps, je suis dehors, prêt à retourner bosser sur mon nouvel article.

« Merci Lewis. C’est la rédac’ qui t’envoie ? »
Lewis me regarde, exaspéré.
« Bro, t’es jamais en colère, t’es jamais exaspéré… Tu veux pas te montrer un peu agacé par la situation ? C’est hyper frustrant !! J’te jure ! J’ai l’impression d’être le seul à s’inquiéter pour toi. Et je t’avoue que ça m’agace un peu. »

Je lui colle une tape sur l’épaule et repars, comme si je n’avais rien entendu. Bien sûr que ça m’agace, ces contrôles. Bien sûr que j’en ai raz le bol… Mais j’y peux rien pour le moment. Et je dois absolument boucler mon article pour demain.

« On en reparle plus tard, tu veux bien ? J’ai masse de taff là ! »
Je l’entends grogner de loin. On en reparlera, je peux en être certain. Enfin, j’aurais pu… En arrivant à la rédaction, je vois mon chef avec une valise, deux cartons, et un billet d’avion.

« Eole, ça ne peut pas continuer. Alors Lewis et moi, on ne te laisse pas le choix. Tu vas aller travailler ailleurs. Ton avion décolle dans trois heures, je t’ai réservé un hôtel, et Lewis s’est occupé des détails. »

« Euh… Bonjour, ça va, oui, et vous ? Je suis ravi de savoir que vous vous en faites pour moi, mais de là à me forcer à voyager comme ça, et à tout laisser derrière moi… Vous vous êtes cru dans un film ? Un mauvais comic ? Un RP à la con ? ‘faut redescendre là. Je… »
« Tu pars à Laurel. »
Derrière moi, Lewis vient de rentrer. La nouvelle me laisse sans voix. Laurel ? Sérieusement ? LA ville des héros ? Celle où je vais pouvoir… OH TROOOP BIEN !!!
« Alors… Je disais donc… Lewis, t’as fait TOUTES mes bagages ? Même… »
« Oui, tout y est. Tout. T’as rendez-vous avec la rédaction du Minute Papillon et avec un contact à moi, là bas. »
Je regarde le rédacteur en chef de ma feuille de chou, Lewis, les bagages et le billet… Tout plaque comme ça, faire le mort, changer de vie… C’est clairement impossible… Mes parents, mes amis…
«  Ta mère viendra te voir d’ici un mois. Elle a compris l’urgence de la situation. 23 arrestations en quatre mois, Eole. ‘Faut que tu te casses. Parce que si ça continue, ils vont fabriquer de fausses preuves pour t’incriminer. T’as plus ta place ici. Alors on te fait partir. »
Partir… Tout quitter… Cette idée me rend nostalgique… Mais nostalgique de quoi ?
« Ok, j’ai compris. Je me tire. Lewis, c’est toi qui me conduit à l’aéroport ? »
« Yup. En route. »
On charge la voiture, et on s’en va en vitesse. Aéroport, contrôles d’identité, contrôle des bagages à main, décollage… Laurel, me voici.

Quand je vois ses yeux quitter la feuille, j’en deviens tout impatient
.
« Alors, dis-moi tout Elena !! Tu penses quoi de mon début d’autobiographie ? »

Elle passe une main dans ses cheveux, visiblement embarrassée.

« Eole, autant, pour tes articles, t'es bon... Mais non. L'autobiographie... C'est nul ! Attends, je te montre comment on peut arranger ça. »


Toi, derrière ton écran

❝ Pseudo : Swan, Hariett, Vendilion...
❝ Age : 24
❝ Avatar : Erik Killmonger
❝ Passions & Hobbies : Faire des personnages pour les abandonner quelques mois après.
❝ Découverte du forum : Une révélation divine, je crois...
❝ Un petit mot pour la fin : Néoprène.


Revenir en haut Aller en bas
Spoiler
Spoiler
❝ PT. EXPERIENCE : 1011
Admin


:

MessageSujet: Re: Passer en courant d'air en air. [Eole Brook, 34eme Eole] Passer en courant d'air en air. [Eole Brook, 34eme Eole] EmptyLun 22 Avr - 19:36

Fiche validée !
Passer en courant d'air en air. [Eole Brook, 34eme Eole] Wqmo


Tu es dès à présent un Joker Catégorie Mythologique au rang B. Tu peux maintenant disposer de tout ton matériel de héros !

Tu peux tout d'abord venir nous dire ton don, ton métier et ton identité secrète ainsi que réserver ton avatar.

Ensuite, tu pourras créer ton journal et commencer à gagner de l'expérience en participant activement au forum. Tu peux également t'inscrire dans le sujet recherche de RP ou, si tu veux faire des rencontres totalement imprévues, dans la random roulette !

Si tu as une question, n'hésite pas à nous en faire part, le staff est là pour t'aider au mieux et pour t'aiguiller vers la bonne voie.
Bonne chance dans la ville des héros !
Revenir en haut Aller en bas
https://hssup.forumactif.org

Passer en courant d'air en air. [Eole Brook, 34eme Eole]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Heroe's SUP :: Ensuite :: Les Inscriptions :: Les Admis-
Partenaires
dabberblimp" Passer en courant d'air en air. [Eole Brook, 34eme Eole] 50-50-2 5050

Créer un forum | ©phpBB | Forum gratuit d'entraide | Signaler un abus | Cookies | Forum gratuit